Bon, rendez-vous à la sortie de GTA V pour la suite de la discussion...
On reprend ?
]]>On focalise sur le fait ce gars jouait aux jeux vidéo, par contre cela ne gène personne de le montrer avec un fusil.
c'est paradoxal, mais on pourrait défendre le port d'armes à feu au même titre que les jeux video; la plupart des gens inscrits en clubs de tir ne sortent pas régulièrement faire un carnage; et ce réel peut être la meilleure manière de limiter ses actions; quand on manipule le couteau, on en sent directement le tranchant
bon, je n'ai pas vraimenet d'opinion sur cette affaire sinon que les jeux peuvent être un cofacteur, et que le cerveau humain n'est pas câblé pour penser en ces termes d'interaction (on traite plus facilement le "c'est causal ou ça ne l'est pas" que "ça intervient dans le terme d'interaction qui représente 70% de la cause" pour reprendre le formalisme statistique)
Imaginez, si les jeux violents rendent violent... Alors toute la génération élevé à Pokemon va remettre les combats de chien au gout du jour?
Enorme ! Mais faudra des grosses Pokeballs, ou des petits chiens.
- Vas y Chiwawa
* Chiiiii wa wa *
Sinon plus sérieusement sur le sujet...
Ben rien en fait, on aura la même polémique, les mêmes exemples et contre-exemples et les mêmes études à la prochaine tuerie.
Cela dit vous avez raison, faut rien lâcher, à force de dénoncer les malhonnêtetés intellectuelles ça va peut être changer quelque chose.
Comme dit Red : "Bon, rendez-vous à la sortie de GTA V pour la suite de la discussion..."
]]>Mais encore une fois, malgré ses spécificités, le jeu video ne diffère en rien des films, des livres ou de la télévision en étant pratiqué dans des circonstances abusives et addictives. Quand on s'endort avec les images du jeu défilant les yeux, on sait tous qu'on est allé un peu trop loin, on est un peu sur les nerfs. Peu importe qu'on ait fait du Unreal ou du Mario toute la nuit, ça ne nous transforme pas en froids criminels.
Imaginez, si les jeux violents rendent violent... Alors toute la génération élevé à Pokemon va remettre les combats de chien au gout du jour?
]]>Une étude, réalisée aux USA par des scientifiques, montre que certaines personnes, ayant du mal à séparer la fiction de la réalité, sont influencées par ces jeux. Ils déconnectent le sentiment de culpabilité que nous avons à tirer sur quelqu'un. Ils ne font plus la différence.
Dommage que tu ne puisses pas donner les références ou les liens de cette étude pour appuyer sa véracité. Pour être le plus ouvert possible, peut-être la dangerosité d'un excès de certains jeux video envers certaines personnes pourrait être considérée de façon plus claire, si tant est que nous puissions arriver clairement à l'identifier scientifiquement.
De la même manière qu'il est inscrit sur la boite que certains jeux sont déconseillés aux hépileptiques, on pourrait immaginer que l'utilisation abusive et excessive d'un certain genre de jeux puisse provoquer des complications sur une personne déjà fragile ou victime d'une maladie qui recommanderait pourtant une attention particulière à l'égard de sa sociabilité par exemple, ou de trouble psychologiques. Un peu comme l'alcool peut engendrer plus de conséquences négatives chez une personne dépressive que chez une autre.
Mais encore une fois, malgré ses spécificités, le jeu video ne diffère en rien des films, des livres ou de la télévision en étant pratiqué dans des circonstances abusives et addictives. Quand on s'endort avec les images du jeu défilant les yeux, on sait tous qu'on est allé un peu trop loin, on est un peu sur les nerfs. Peu importe qu'on ait fait du Unreal ou du Mario toute la nuit, ça ne nous transforme pas en froids criminels.
Bon, rendez-vous à la sortie de GTA V pour la suite de la discussion...
]]>Je suis presque sur qu'on peut trouver une étude qui prouve que certaines personnes commettent des meurtres sous l'emprise de la religion...
Au pire, tu peux toujours en commander une à Scientists of America.
]]>Moi, quand je regarde TF1 de manière excessive, ça me donne envie de tuer. Alors je me mets à jouer à Call Of Duty et je bute un max de monde. C'est là que je suis le meilleur. Grâce à TF1.
]]>TZ a écrit :Le cerveau marche, se construit à travers l'entraînement. S'entraîner à la violence régulièrement, que ce soit au travers des jeux vidéos, de films, musiques ou littérature, ne peut qu'aboutir à un comportement plus violent
La confusion est là.
Je pense que le cerveau sait très bien faire la distinction entre réalité et fiction. Et notamment, le sentiment clé dans les jeux, c'est celui de succès. Doubler une caisse dans un dérapage, enchainer des tetris ou faire un beau head-shot, ça procure la même sensation. Celle de bien jouer. Rien de plus.La violence, la vraie, celle de la confrontation directe à d'autres individus, met en place d'autres méchanismes biologiques, et ça m'étonnerait que ça soit comparable avec ce que déclenche quelconque fiction. Sinon on aurait depuis longtemps vissé les jeunes recrues de l'armée devant des FPS...
Je suis assez d'accord sur le fait que le cerveau fait la distinction entre réalité et virtuel.
On focalise sur le fait ce gars jouait aux jeux vidéo, par contre cela ne gène personne de le montrer avec un fusil. La réalité dépasse de loin le virtuel.
Avec une identification pour une connection sur ces jeux via les nouvelles cartes d'identité biométrique réduirait considérablement le nombre de gosses s'exitant 2 à 3 heures par jour face à l'écran, et que dire des cybercafés où, quelque soit le lieu, vous n'y trouvez que des gosses de moins de 15 ans, il est là, le putain de problème.
Quant à l'autre taré "A B B", tiens cela me rappelle étrangement quelque chose!!!, il n'est ni de droite ni de gauche ni rien, d'ailleurs. Car en matière de terrorisme, il n'y a pas de parti politique mais seulement des lampistes.
]]>Une étude, réalisée aux USA par des scientifiques, montre que certaines personnes, ayant du mal à séparer la fiction de la réalité, sont influencées par ces jeux. Ils déconnectent le sentiment de culpabilité que nous avons à tirer sur quelqu'un. Ils ne font plus la différence.
Ouais, et si tu mets ces "personnes, ayant du mal à séparer la fiction de la réalité" devant la télé, elles feront les même conneries après avoir regardé un Die Hard.
Et si tu mets ces "personnes, ayant du mal à séparer la fiction de la réalité" devant un bouquin de Tom Clancy, elles iront dézinguer du terroriste dans la rue.
Et si tu cibles précisément ton étude scientifique, en étudiant par exemple des "personnes, ayant du mal à séparer la fiction de la réalité", tes conclusions seront vraies pour cette cible, mais tu biaises grandement l'interprétation que le grand public va en avoir, parce qu'il a du mal à comprendre le concept de spécificité de ton étude.
Tout le mensonge et l'amalgame viennent de l'interprétation volontairement erronée qui est présentée par un média en mal d'audience. Le sensationnalisme et la courte vue sont toujours plus vendeurs que l'analyse critique. Parce que forcer à utiliser le cerveau de son audience, c'est autant d'espace en moins pour Coca.