De plus, il permet en partie de s'affranchir des défauts de la distribution physique. Les copies peuvent ne pas être la où se trouvent les acheteurs, et les problèmes d'exposition entre les têtes de gondoles bien visible et les bacs dans le fond du magasin lorsque l'on sait ce que l'on va acheter. Car trouver un disque peut être un vrais parcours du combattant au niveau de la distribution physique et si l'acheteur se trouve à 150 km de l'endroit où il reste une copie il ne se déplacera pas sans être certain de l'avoir.
Après pour parler du droit des contacts c'est amusant mais normalement çà nécessite une validation par deux intermédiaires, un contact peut être annulé si la personnes rédigeant le contact ne fait pas les efforts nécessaires pour donner une information loyale et honnête; il existe des personnes qui sont protégées (personnes âgées et mineurs). Un contact est en deçà de la loi et ne permet pas de s'en affranchir.
Donc un contact validé sans que la personnes n'ait eut connaissance des termes en pouvant être mineur; çà n'a de la valeur que pour le couillon qui se crois protégè par ces termes. Cas amusant d'un médecin qui avait fait signé un contact de soin par un patient étranger qui ne parlait pas un mots de français et qui a été condamné. Un contact ce n'est pas n'importe quoi et les conditions sont aussi importante que le contact dans sa validation par une autorité judiciaire qui peut l'invalider et condamner alors le contractant.
Sinon désolé pour cette réponse tardive mais je me promène et ne pirate pas encore les accès internet en fonction des lieux ou je loge.
]]>Quant au contrat de licence d'iTunes, ce n'est pas très différent des limitations d'usage imprimées sur les CD et leurs pochettes, pour ne pas dire que c'est exactement pareil.
]]>Un petit rappel sur le contrat de licence itune même si il a évolué.
http://www.droit-ntic.com/news/afficher.php?id=344
et une petite histoire.
http://www.scottmccloud.com/comics/icst … -full.html
edit liens.
]]>Or au niveau du numérique, l'acheteur n'est jamais propriétaire de l'œuvre, il n'est pas aussi propriétaire d'un support mais d'un droit d'accès à l'œuvre. Il est donc pas inintéressant de traiter la durée du support car elle est indépendante d'un quelconques support (cd, disque dur, cassette, .......... cylindre de cire).
Quant à l'augmentation de la durée des droits c'est travailler moins pour gagner plus et dire qu'on tape sur les fonctionnaire en les traitant de faignants.
]]>Le problème est que ce type d'offre entre en concurrence frontale avec le téléchargement permanent légal, lequel avait déjà beaucoup de mal à prendre son envol, c'est à dire que ces deux majors tout en se tirant une balle dans un pied exécutent d'un seul coup d'un seul les espoirs qu'il restait aux artistes de se refaire une petite santé financière grâce au téléchargement permanent.
C'est assez mal jouer dans le fond car les artistes (les plus vendeurs particulièrement) ont tout intêret à éviter de telles perspectives et rompre les liens avec les majorts bradeuses.
un petit rappel, ce que vous appelez "téléchargement légal permanent" est un accord de licence dans lequel l'acheteur ne possède rien. (regardez les termes du contrat d'itune pour exemple signé par simple lecture du fichier musical sans même avoir été présenté à l'acheteur qui peut être mineur).
Un cd est un support matériel qui peut allègrement durer 20 ans. Combien de temps dure un MP3 encodé avec les pieds et vendus sur ces fameuses plateformes avant que l'on propose de le repayer pour quelques Kbs de plus ou sans DRM.
Alors que les artistes demandent que les droits, actuellement de 50 ans sur les enregistrements, passent à 70 ans voire plus aucune plateformes ne propose de support digne de ce nom pour les pauvres pecnots qui ont achetés des morceaux sur vinyles puis les ont renouvelés sur cd et devraient les racheter à chaque modifications infinitésimales de format. Car si conserver des données informatiques quelques années est simple; les faire durer 20 ans ou plus nécessite de raisonner comme des banques ou des administrations centrales (multiples sauvegardes sur des supports différents et dissémination des sauvegardes sur plusieurs sites) ou d'avoir à faire à un support digne de se nom.
]]>C’est la formule magique sur laquelle mise la profession pour faire enfin rimer musique numérique avec de très conséquents revenus. Différentes offres de musique par abonnement proposés par des fournisseurs d’accès à l’Internet (Neuf, Alice) et des opérateurs mobiles (SFR)ont commencé à apparaître en 2007, avec un certain succès. Elles permettent, moyennement un forfait mensuel inclus dans l’abonnement — 4,95 euros par mois chez Neuf — l’écoute et le téléchargement illimité de musique en toute légalité.
Selon les calculs auxquels se livraient les professionnels dans les allées du Midem, un service de musique illimitée souscrite pour 6 euros de plus par mois par les 14 millions de foyers français abonnés au haut débit dans le cadre de leur abonnement à un FAI représenterait une manne de plus de un milliard d’euros par an ! Bien plus que les 713 millions d’euros de chiffre d’affaires qu’ont rapporté les ventes physiques et numériques en 2007 et pas si loin du pic de 1,3 milliard d’euros de recettes dégagés l’industrie du disque à son apogée, en 2002.
Largement préférées par la profession au modèle plus aléatoire de financement par la publicité, ces « mini-licences globales » commercialisées via les nouveaux « fournisseurs d’accès à la musique » que sont les FAI et les opérateurs mobiles restent encore trop limitées en termes de variété des catalogues. L’offre de Neuf et de SFR ne concerne que le répertoire d’Universal, celle de Alice est circonscrite aux artistes d’EMI, etc. D’où le danger également de morcellement de l’offre musicale éparpillée en une kyrielle de services à la recherche du deal exclusif pour se démarquer de la concurrence. Madonna chez Orange et Radiohead chez Free ?
c'est fous cela une licence globale rapportant autant que la meilleur année du secteur depuis 50 ans. Par contre pour garder des abonnées, il faux travailler plus pour gagner plus. Créer toujours une nouveauté intéressante pour le consommateur et on est loin des choix de cette industrie qui choisie de s'enterrer dans ses catalogues et de ne pas investir dans la création depuis des années.
Quand on voit qu'ils sont en train de militer pour obtenir le passage de 50 ans à 70 ans avant le passage dans le domaine public.
Reste la dernière idée à la con de la RIAA, le spyware pour tout le monde comme si les problèmes de sécurité autour des rootkit sony n'avait pas servit d'avertisseur suffisement puissant pour le secteur. Encore qu'avec vista, on n'a plus un OS mais un malware gourmand en resourses systèmes.
]]>Taxe sur les supports numériques ;
Taxe sur les fournisseurs internets ;
Taxe sur les abonnements internets ...
C'est fou comme l'une des industries les plus libérales du XXème siècle (pas d'erreur) devient terriblement protectionniste quand sa survie est en jeu ...
Bah , je suis pas inquiet :
Leur combat est d'arrière garde , et le vrai problème pour la génération téléchargeurs n'est pas une énième loi de type Dadvsi , mais de trouver des idées de téléchargement ! Même sur les sites d'offre légale , la pauvreté de l'offre est à pleurer ...
Le Petit Nicolas (mais en Plus Grand)
http://www.grandnicolas.com
Téléphonie, web, publicité : l'industrie musicale commence à évoluer et revoit ses perspectives. Tour d'horizon.
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