Mais bien sur l' utilité est difficile à saisir pour tout le monde...Partager gratuitement
Je ne voulais pas en remettre une couche pour ne pas s'enflammer (ok j'avais la flemme) mais sur ce coup là je plussoie Mc Beth, la monétisation des contenus que je peux créer ne m'intéresse pas et qui plus est essayer de vendre un truc qui sort de mon cerveau me semble plus être du charlatanisme que du commerce vu la haute opinion que j'ai de mes créations
]]>@Mirabelle: Désolé pour les fana du CC, je n ai pas de parts chez eux, mais il faut reconnaitre qu' il s' agit d' une invention utile. Mais bien sur l' utilité est difficile à saisir pour tout le monde...Partager gratuitement, tout en conservant le contrôle sur ce qui peut être fait ou non, ça vous dépasse?
Quoi qu il en soit bonne chance dans l' exploitation du copyright de vos textes et dessins!! hehe Sans rancune aucune.
]]>Vous êtes sérieux ? Quelle naïveté. Avec ce raisonnement, c'est pas un 11 septembre qu'on aurait eu, mais 20 !
Vous avez raison la censure, c'est tellement plus démocratique.
Si je publie quelque chose, les services secrets font partie du public non ? En vertu de quoi je leur interdirais l'accès. Je vérifie aussi la religion, l'affiliation politique de mes lecteurs ?
Les critères de surveillance ? : jetez un coup d'oeil à la déclaration des droits de l'Homme, la convention de Genève (oui la lapidation pour adultère est un crime chez nous), maintenant chacun me lit pour les raisons qui l'amusent.
Les écoutes téléphoniques affectent la sphère privée, non ? Je ne vois pas le rapport.
§ 1. Je ne m'intéresse, ni de près ni de loin, aux critères qui font que ceci ressort du domaine « privé » et cela du « public ». À vrai dire, je m'en contrefous éperdument, deux fois plus encore de la Déclaration universelle des droits de l'homme, de la Convention de Genève, des élucubrations sur les droits d'auteur ou en matière de copyright, du règlement d'ordre intérieur de l'amicale de la 6e division de gendarmerie ou de tout texte juridique — de droit ou de fait — d'où qu'il sorte. Des textes de lois, on en aura pondu treize à la douzaine et on ne sait même plus dans quelle oubliette il devrait être convenu de les entasser. Et puis, c'est trop moche, les textes de loi.
Par contre, ce qui me passionne — et au plus haut point — c'est la mentalité qui prévaut avec la méthode que vous décrivez et / ou que vous admettez.
Par ex. que quelqu'un lise ce que vous publiez, c'est une chose ; qu'il le lise maintenant pour essayer d'y trouver des arguments qui démontreront que ce que vous avez publié est subversif, c'en est déjà une autre ; — mais que cette façon de lire devienne un argument de gouvernement, lequel permettrait de façon officielle d'opérer un tri entre ce qui est potentiellement subversif et ce qui ne l'est pas, alors là non, pas d'accord. Ce ne sont au mieux que les méthodes en vogue dans un système (une politique) qui n'a plus de ligne directrice et, au pire, les techniques de merdeux qui ne valent pas tripette et que, par matoiserie, je place effectivement en-dessous des censeurs. Ce qui ne veut pas dire, d'autre part, que j'éprouve de la sympathie pour les censeurs...
Mais bon, si, ingénu, j'ai déjà oublié que ces méthodes-là, idéalement corsetées par des textes juridiques adéquats, nous auront épargné trois-cent-cinquante deux 11 septembre, vingt-sept guerres mondiales, douze big-bang et peut-être même la mort du fils du pape...
§ 2. Si vous ne voyez pas le rapport entre les écoutes téléphoniques, que je cite en exemple, et ce que vous, vous avez écrit, c'est tout simplement parce que vous séparez les individus de leurs actes. Car le rapport, il est évident : les individus qui pratiquent les écoutes et ceux qui mettent en œuvre les techniques d'infiltration que vous justifiez, eh bien ce sont les mêmes. (Ou plutôt, ils sortent du même tonneau.)
]]>Si vous ne faites rien, vous êtes protégés par le copyright.
Non par le droit d'auteur, qui est fondamentalement différent. Pour plus de détail suivez wiki...
]]>Ah le courage des anonymes !
]]>De plus Facebook n' utiliserais jamais le CGU pour exploiter des données de ses utilisateurs. Ca serait tuer la poule aux œufs d or!
Sauf que la poule aux oeux d'or elle n'en pond pas justement, tandis qu'elle contiens un lingot d'or dans son ventre.
Tu revend les données personnelles des internautes, tu peux en tirer une somme très conséquentes (Plusieurs Euros par nom)
Alors que Facebook perd de l'argent c'est une option qui n'est pas exclue
Si facebook de base ne le fait pas je ne vois pas pourquoi un prochain investisseur ne tenterais pas le coup Il y a moyen de faire une jolie opération ponctuelle, et comme tu l'auras constater ce qui interesse les Financier c'est de gagner beaucoup d'argent tout de suite, plutot que un peu mais régulièrement et longtemps.
Bref ne laissez trainez aucune donnée perso sur facebook
N'ayez pas peur d'etre une femme centenaire si vous êtes un homme de trente ans, plus il y a de données (inutile de toute façon pour vos amis) fausse moins vos données perso risque d'etre exploitée
Voir mon article sur Creative Commons: http://www.leblogdelamirabelle.net/arti … 77919.html
Oui bon désolée pour la pub, mais y a beaucoup de malentendus sur Creative Commons.
"Over the past few days, we have received a lot of feedback about the new terms we posted two weeks ago. Because of this response, we have decided to return to our previous Terms of Use while we resolve the issues that people have raised. For more information, visit the Facebook Blog."
Facebook aura finalement reculé! A noté que, quelque soit les conditions générales d utilisation, les droits sur les données personnelles demeurent opposables pour tout les citoyens de l' Union Européenne.
De plus Facebook n' utiliserais jamais le CGU pour exploiter des données de ses utilisateurs. Ca serait tuer la poule aux œufs d or!
Enfin voici la solution à tout vos problémes: le Creative Commons: http://www.youtube.com/watch?v=1DKm96Ftfko
Cheers
By the way, Facebook vient de faire marche arrière et aurait rétabli les anciennes formulations.
Facebook a créé un groupe pour rassembler les suggestions des membres à ce sujet pour une refonte totale des conditions d'utilisation.Source : http://www.spiegel.de/netzwelt/web/0,15 … 14,00.html
et : http://blog.facebook.com/blog.php?post=54746167130
On prépare l'article...
]]>Facebook aura finalement reculé! A noté que, quelque soit les conditions générales d utilisation, les droits sur les données personnelles demeurent opposables pour tout les citoyens de l' Union Européenne.
De plus Facebook n' utiliserais jamais le CGU pour exploiter des données de ses utilisateurs. Ca serait tuer la poule aux œufs d or!
Enfin voici la solution à tout vos problémes: le Creative Commons: http://www.youtube.com/watch?v=1DKm96Ftfko
Cheers
]]>Source : http://www.spiegel.de/netzwelt/web/0,15 … 14,00.html
et : http://blog.facebook.com/blog.php?post=54746167130
Les écoutes téléphoniques affectent la sphère privée, non ? Je ne vois pas le rapport.
LaMirabelle a écrit :[...] Je ne pense pas qu'il faille censurer. Mieux vaut utiliser ce qui est publié pour remonter des filières, surveiller des terroristes et activités criminelles. En Allemagne existe un forum musulman radical. Il n'a pas été interdit, ni fermé mais infiltré par les services secrets allemands qui repèrent ainsi très tôt les criminels (quelqu'un qui écrit "à mort les chiens d'occidentaux" est suivi de près. Si on l'empêche de s'exprimer, que se passera-t-il ? On le repérera peut-être trop tard....
Ouf !
Et en vertu de quelle(s) certitude(s) allez-vous distinguer ce qui est potentiellement « subversif » de ce qui ne l'est pas ? (« Forum musulman radical... » « Femmes lapidées... » Pfft !)
On en aura vu qui auront utilisé pareil principe pour, notamment, justifier des écoutes téléphoniques ou visualiser du courrier à l'insu de l'expéditeur ou du destinataire. « — Infiltrez, infiltrez : moi, je n'ai rien à cacher ! »
Mais peut-être conviendra-t-il de prendre le discours involontairement cocasse des profilers et autres amuseurs publics du même tonneau pour parole d'évangile ? C'est tellement pratique, tellement apaisant, tellement... religieux, ce genre de laïus. Toujours ce bon vieux Léviathan !
Allez ! surveillons tout le monde avec le sourire, on fera le tri après...
Entre votre vision de la liberté d'expression et la censure la plus extrême, je choisis sans hésiter la seconde !
Voici la dépêche sur linuxfr qui présente le script : https://linuxfr.org/2009/02/05/24982.html
Un site de démonstration : http://sylvain.dudoit.free.fr/poupitchi/
]]>[...] Je ne pense pas qu'il faille censurer. Mieux vaut utiliser ce qui est publié pour remonter des filières, surveiller des terroristes et activités criminelles. En Allemagne existe un forum musulman radical. Il n'a pas été interdit, ni fermé mais infiltré par les services secrets allemands qui repèrent ainsi très tôt les criminels (quelqu'un qui écrit "à mort les chiens d'occidentaux" est suivi de près. Si on l'empêche de s'exprimer, que se passera-t-il ? On le repérera peut-être trop tard....
Ouf !
Et en vertu de quelle(s) certitude(s) allez-vous distinguer ce qui est potentiellement « subversif » de ce qui ne l'est pas ? (« Forum musulman radical... » « Femmes lapidées... » Pfft !)
On en aura vu qui auront utilisé pareil principe pour, notamment, justifier des écoutes téléphoniques ou visualiser du courrier à l'insu de l'expéditeur ou du destinataire. « — Infiltrez, infiltrez : moi, je n'ai rien à cacher ! »
Mais peut-être conviendra-t-il de prendre le discours involontairement cocasse des profilers et autres amuseurs publics du même tonneau pour parole d'évangile ? C'est tellement pratique, tellement apaisant, tellement... religieux, ce genre de laïus. Toujours ce bon vieux Léviathan !
Allez ! surveillons tout le monde avec le sourire, on fera le tri après...
Entre votre vision de la liberté d'expression et la censure la plus extrême, je choisis sans hésiter la seconde !
]]>On pourrait arguer que c'est aussi le cas des quotidiens (de la presse), publiés le matin pour être jetés le soir et qu'historiens, chercheurs et amateurs sont bien contents d'en trouver des archives, maintenant. Je ne le pense pas : du fait justement du droit d'auteur à la française, l'auteur a le droit de retirer une oeuvre (un texte, par exemple) du domaine public. Essayez de faire retirer des contenus de Google...
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