Ce n'est pas parce qu'un outil n'est pas adopté par le plus grand nombre qu'il est sans intérêt.
Tout à fait. Mais c'est parce qu'il n'est pas asapté au plus grand nombre que Twitter n'est pas l'outil du siècle et qu'il ne mérite pas l'attention qu'il obtient en grande parti grâce à un buzz provoqué par une forte couverture médiatique.
Couverture médiatique logique puisque Twitter est très util aux journalistes (professionnel ou amateur) et aux amateurs d'informations, comme expliqué dans l'article.
C'est vrai que l'aspect informatif est prépondérant par rapport au relationnel avec twitter, mais du coup je trouve que j'en ai une utilisation très libre: je follow, unfollow facilement suivant le contenu, ou l'absence de contenu....
C'est un outil agréable et "léger "
Je trouve que c'est assez juste, dans mon entourage, quasiment personne n'utilise twitter et donc je poste très peu.
En revanche je suis des personnes qui me semblent intéressantes ou qui traitent de sujets qui me plaisent, comme je le ferais avec un blog. Mais la nature de réseau social est importante dans la mesure où les membres actifs répondent et interagissent avec leurs followers, plus que les blogueurs ne le font dans les commentaires.
Et puis surtout on sait avant tout le monde quand un avion se pose dans l'Hudson, et ça, c'est priceless!!
]]>En général rien à voir avec raconter sa vie (en tout cas pour 80% des messages de mon flux). Il s'agit avant tout de faire circuler des informations, demander des renseignements, et faire de la communication horizontal (le fait de pouvoir demander à n'importe qui qqchose de façon completement informel, sans attendre forcement de réponse).
Par exemple en surveillant des mots clés pour découvrir des gens, engager une discussion, etc.
Après qui tu suis c'est toi qui décide, je suis très peu de gens qui ont énormement de followers, plutot des gens qui sont dans une sphère proche de moi (logiciels libres, défense des libertés, journalisme) et que je "connais" plus ou moins.
]]>Visiblement vous n'avez pas assez persévéré dans la pratique de twitter, car il y a un bouton "unfollow" qui vous permet de ne plus suivre une personne si finalement ses twits vous ennuient.
De là à ce que par mimétisme social quelqu'un se force à suivre un twitteur et à lire ses twits même s'il les trouve sans intérêt, cela devient du fétichisme.
J'ai bien ajouté en dessous que le nombre de follower ne fait pas tout et qu'il faut aussi de la qualité.
Mais c'est comme la musique commerciale. Il y'a plein d'excellent musicien, bien meilleurs que certaine "stars" qui ne réussissent jamais et ne vendent que quelques albums au coin de la rue. Mais les "stars" on parle d'elle donc tout le monde les suit. Bien sur si elles sont mauvaise ça ne dure pas. Mais ça permet de toucher sa cible initial et de capter l'audience.
Pour reprendre ton exemple, le petit graphiste de Rouen pourra en 2 ou 3 ans de tweet de qualité atteindre la célébrité et être repris dans les journaux (combien d'année avant que le blog d'Eolas ne devienne une véritable référence).
Par contre ton graphiste correct mais sans plus qui paye une boite de comm va avoir 3000 contact en deux jours, un article dans les journaux au bout d'une semaine sur son succès fulgurant et 100000 follower en moins d'un mois.
Ou comme te le dirais tout bon spécialiste du marketing, on le suis parcequ'il a beaucoup de followers et que si tout le monde le suit c'est que ça doit être bien ce qu'il dit.
Visiblement vous n'avez pas assez persévéré dans la pratique de twitter, car il y a un bouton "unfollow" qui vous permet de ne plus suivre une personne si finalement ses twits vous ennuient.
De là à ce que par mimétisme social quelqu'un se force à suivre un twitteur et à lire ses twits même s'il les trouve sans intérêt, cela devient du fétichisme.
"Plus de 80 des utilisateurs postent en moyenne...zéro tweet par jour"
pour cent, peut-être ?
Anéfé.
]]>Malgré les apparences, Twitter est en ce sens le moins nombriliste des réseaux sociaux : on ne s'allie pas avec quelqu'un parce qu'il est notre cousin ou un ex, on le suit parce qu'on le trouve intéressant. C'est un progrès énorme.
Ou comme te le dirais tout bon spécialiste du marketing, on le suis parcequ'il a beaucoup de followers et que si tout le monde le suit c'est que ça doit être bien ce qu'il dit.
La première chose que font les marketteur lorsqu'il veulent créer un profil facebook ou twitter pour un client, c'est de faire un maximum de lien à l'aide de leurs comptes (eux même lié à un maximum d'autre compte) pour créer très rapidement un réseau remarquable. Après le phénomène mouton fait le reste (Tant de monde ne peuvent pas vraiment se tromper, voyons!).
Bien sur cela ne suffit pas, il faut un minimum de qualité. Mais ne sous-estimer jamais l'effet "Je fait comme tout le monde, regardez! je suis à la mode! je suis hype!"
Pour plus de détail voyez "Second Life" qui a complétement disparu de la sphère médiatique alors que c'étais "le web du nouveau millénaire" si on en juge par tous les articles sur cet univers virtuel.
Ou pire regardez le succès de Hobbo! ce site n'est que du commercial pourris et un bon buzz. Les graphismes sont limités l'intérêt quasi nul, mais ça marche. Pourquoi, mais parceque c'est hype!
Bonne formule !
En ce sens pour ma part j'ai trouvé en twitter un moyen formidable de développer une vraie proximité et de vrai échanges avec une sphère qui ne m'aurait surement pas adressé la parole via d'autres réseaux sociaux.
Car à la différence d'un Facebook, dans une grande partie des cas vous n'avez pas besoin de l'approbation du récepteur pour le lire, et il n'a pas besoin de manifester un intérêt explicite envers vous pour venir discrètement vous lire.
Il y a une certaine égalité devant le tweet, une absence de hiérarchie ou de
castes. Il y a un amour de la formule et du mot remis au gout du jour, tout le monde est logé à la même enseigne, cette contrainte de 140 caractères, pas de couleurs, pas de truchements graphiques, l'information, la phrase ou la prescription dans leur plus stricte nudité.
Il y a un vrai "ascenseur social" dans la twittosphère, et si un jeune graphiste de Rouen écrit de bons tweets, il sera autant respecté, suivi et écouté qu'un journaliste célèbre ou un politicien.Il deviendra prescripteur.
Malgré les apparences, Twitter est en ce sens le moins nombriliste des réseaux sociaux : on ne s'allie pas avec quelqu'un parce qu'il est notre cousin ou un ex, on le suit parce qu'on le trouve intéressant. C'est un progrès énorme.
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