C'est là que j'ai trouvé ce concept de constantes/variables très "méta" et très intéressant. En fait chaque joueur aura la même histoire et la même fin mais aura eu une expérience différente, sur la simple façon de jouer ou sur les choix d'upgrades et d'armes. Une infinité de façons de faire le jeu mais dans l'univers constant des niveaux et de l'histoire.

La séquence avec les phares et les Elizabeth/Booker multiples m'a tout de suite fait penser aux autres joueurs de Bioshock Infinite qui en étaient à la fin en même temps que moi (et peut-être aussi émerveillés que moi).

Cela m'a aussi rappelé Dark Souls avec son mode online particulier, où l'on aperçoit les fantômes des autres joueurs qui meurent ou se reposent aux feux de camps dans leur propre monde. Dans Bioshock Infinite un tel mode online aurait été un élément qui aurait pu s'inscrire parfaitement dans le scénario du jeu.

Emission intéressante, mais peut-être aurait-il été plus judicieux d'attendre que tous les chroniqueurs aient fini Bioshock Infinite avant d'en parler : beaucoup de points soulevés sont explicités à la fin du jeu.

Au niveau du gameplay, je suis d'accord avec ce qui a été dit, mais il faut préciser que contrairement à Bioshock, ici les maps sont le plus souvent de grands espaces ouverts. On peut beaucoup utiliser la hauteur (avec les Sky-lines) et du coup les combats semblent bien différents de ceux de Rapture où on était plutôt dans des corridors glauques.