Vous n'êtes pas identifié(e).
Pages : 1
Il est quand même hallucinant que l'état autorise la survie d'un système de distribution de la musique complètement obsolète.
Au dela de la raison maintes fois évoqué de la sauvegarde des emplois, Est ce à l'état, par une répression législative forte, par des dispositifs de prélèvements qui se contredisent les uns les autres (taxe sur les supports, taxe sur les abonnements à venir,...) de permettre la subsistance d'un système incapable de se remettre en cause?
Le modèle CD est mort ou presque à quand une réel offre en ligne dont les tarifs ne sont pas calqués sur les tarifs des anciens supports?
Pages : 1