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Bon comme beaucoup, de l'angoisse (Hiiiiiiiii !!!!) à l'annonce de ces changements; je suis un lecteur infidèle mais je ne me souviens pas d'avoir jamais été déçu de venir ici, et c'est peut être le seul site dont je puisse dire ça
les comms, ça promet d'être rigolo, mais l'inflation du contenu se gèrerait facilement si le design était plus lisible sur libé je trouve
C'est vraiment à pleurer de rage quand on mesure toutes les ressources qui auront été englouties jusqu'à épuisement dans ce désastre. Les justifications consternantes des labellisés ne font même pas rire. Crise 2013, des boîtes qui se cassent la gueule, et qui reste en place ? "ça". Et si ça se trouve ils ont eu des aides à la con en recherche et développement.
Piratage informatique... ben moi, c'est le chien qui a bouffé mon devoir ce jour là, chacun sa croix.
Très intéressant. Plusieurs remarques cependant :
"L’enseignant doit adapter ces matériaux à un étudiant toujours unique."
Problème, cette phrase suggère une relation directe enseignant-étudiant au singulier, alors que (même si c'est évoqué dans les phrases précedentes) on peut aussi raisonner en segment (on n'est jamais aussi unique qu'on le pense) et qu'on peut voir l'enseignant comme l'initiateur d'une discussion entre étudiants qui s'enseignent les uns aux autres (comme sur un forum)
"Il suffirait de travailler avec des designers indispensables à une mise en images propre, mais aussi veiller à une bonne prise de son."
oui totalement d'accord; gros problème de formation d'équipes pluridisciplinaires, d'origines variées; je ne sais plus où j'avais lu le fonctionnement des équipes du NewYork Times pour la production de leurs infographies : journaliste bien sûr, et ingénieurs, et designers, et documentalistes/data managers; j'ai l'impression qu'on n'est pas très bon pour ça en France, mais je suis sans doute très français en disant ça
Moodle soit dit en passant n'est pas super côté design
autre point pas assez souligné : la video, le cours "asynchrone", c'est la possibilité avec un bon abonnement mobile de bûcher, étudier, réviser tout le temps partout, de s'imprégner par morceaux; on ne dira jamais assez à quel point les smartphones pour tous c'est une bénédiction
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de l'amazon bombing ? héhé
bon, à voir la violence des réactions sur ce livre, on a l'impression que les enfants du numérique (j'en suis) n'aiment pas qu'on leur rappelle trop brutalement que derrière le rideau, il y a des rouages
Jolie idée, mais il y a un côté gnangnan et sec en même temps, trop de choses pas assez longues; ça n'a pas la puissance et l'universalité d'un Kiwi
https://www.youtube.com/watch?v=sdUUx5FdySs
vu le volume occupé par la bête, on peut même supposer qu'il se gave
Attends.
En fait, ce que repproche la presse française, c'est que Google (search) lit les articles, pour faire son business, sans rétribuer les auteurs des contenus. Lol. Janet, tu m'expliques là que tu veux taxer les gens qui lisent ton contenu disponible gratuitement sur le net.(...)
J'ai du mal avec cette argumentation et je ne pense pas que le problème soit là. Non l'info n'est pas "par essence" gratuite; un témoin peut essayer de monnayer son info, c'est parfois bien que rarement acepté. La gratuité, le don, c'est une stratégie parmi d'autres, même si c'est le cas le plus fréquent (et encore, le don est une manière de valoriser une réputation). Et il existe des tas de manières pour le fournisseur d'informations de contrôler l'usage qui en est fait, les nuances de Commons par exemple. La gratuité est une de ces nuances, c'est le choix de celui qui la produit, et ce choix peut tout à fait être ajusté (accès libre, pas de reprise pour usage dans un service commercial). QUe la presse autorise la lecture gratuite à un individu ne lui lie a priori en rien les poings vis à vis d'une entreprise. Elle a le droit de choisir.
Maintenant, même si le contenu presse contribue objectivement à améliorer les performances du moteur de recherche, Janet me donne l'impression de croire (avec quelle sincérité ?) que la presse produirait, du point de vue de Google, "assez directement" un contenu de qualité décisive. J'ai du mal à croire à ça (assez direct, décisif), et j'ai du mal à croire que les revenus publicitaires de Google via l'analyse des contenus presse ne devraient rien de leur force à la faible pertinence de la gestion des pubs sur le site d'info lui même.
actifs mensuellement si j'ai bien suivi; càd quelqu'un qui se connecte 1 fois dans le mois est actif; le chef de réseau a-t-il précisé le nombre moyen de connexions par inscrit actif ?
et puis il paraît que plus encore que le nombre, c'est la moyenne d'âge (en baisse) qui les excite
"le service de Google (lancé en bêta en 2004) enregistre en revanche une croissance nettement plus solide — +18 % en un an."
je vais peut être dire une grosse connerie, mais est ce que les comptes des services Youtube et al. n'auraient pas été convertis/associés "de force" à un mail cette dite année ?
Je suis revenu de cette expo ni moins ni plus convaincu qu'en contemplant les infoviz qui se sont multiplié comme des lapins ces dernières années. On présente souvent l'image comme la manière élégante d'accéder simplement à une réalité complexe. Or ce qui crevait les yeux sur pas mal des posters, c'était à quel point la simplicité des images ne reflétait finalement que la simplicité des données (chiffrées) brutes. Un chiffre ou une série de chiffres de même nature; pas de mise en relation des chiffres entre eux, pas de recherche de causalité ou de conséquences à travers la mise en scène d'autres chiffres, pas d'explication, pas d'interprétation, pas d'analyse. L'infoviz se glorifie souvent de présenter de l'information, mais la plupart du temps il ne s'agit que de données.
Vendredi, il y avait dans les mêmes couloirs des posters de chercheurs en medecine exposés à l'occasion d'une conférences sur les kinines, ou un truc comme ça); l'écart était vertigineux, entre ceux qui savent interpréter les chiffres mais pas les présenter (l'histogramme avec des petits pois dans le rectangle...), et ceux qui savent présenter mais où on peine à voir de l'analyse.
Assez déprimant pour ce qui me concerne, et le sentiment d'être face à une communauté manquant de sens critique, notamment sur elle même. J'aurais aimé voir plus de questionnements, sur ce que c'est que l'incertitude de la représentation, ou la représentation de l'incertitude. Problèmes peut être abordés dans la journjée de confs, je n'y suis pas allé.
Il y a pourtant des voix discordantes qui s'élèvent, il y a quelques années par exemple quand je ne sais plus quel prix de la meilleure infographie attribuée à El Pais ou le NYT avait suscité des interrogations (quel intérêt de produire une image où il y a tant de choses, et tant de confusion)
La représentation des données textuelles, qualitatives, était déjà plus intéressante, peut être parce qu'elles sont fondamentalement graphiques ( les liens dans un réseau...).
C'est beau, ça ferait un joli papier peint, il y a un travail qu'on soupçonne énorme, mais qu'est ce que ça dit vraiment d'autre que "regardez moi" ?
Après toutes ces années, je continue à ne pas comprendre le statut dont bénéficient Galaxy Quest et ses acteurs; scénario et personnages peu profonds, avec des moments un peu cyniques ou faussement naïfs. Et je mets Super très au dessus de Kick ass, à cause de la richesse des personnages également. 4 pouces levés pour ZombieLand sinon
Le gâchis humain et économique qui s'annonce...
La période Muliez n'a pas arrangé les choses, mais je serais parmi les cadres (plutôt) sups version PPR qui ont fait ou laissé faire ça (genre je fais confiance au stratège sans moufter, je prends la paye, et j'augmente ma recommandabilité auprès de mon futur employeur) je serais pas très fier...
C'est la dernière phrase qui est intéressante.
En tant qu’élément de notre Journal, on peut s’en souvenir, mais s’il y a en plus cette lueur datée et familière du faux vintage, alors on doit s’en souvenir.
En choisissant délibérément ce dont on doit se souvenir, on refuse de garder en mémoire ce qui nous dérange
c'est discutable, peut être pas au niveau de l'intention, mais du résultat, de la réussite de cette sélectivité
Kodak (RIP) avait fait une étude il y a quelques années, où la conclusion était que plein de gens prenaient des photos (argentiques) sans les développer
hypothèse : le simple fait de prendre la photo, sans en voir le résultat, suffisait à se souvenir des choses les plus importantes (intérêt de l'étude : exploiter ce marché caché on en voit peut être les effets dans les pubs qui nous enjoignent d'imprimer nos plus belles photos, nos plus beaux souvenirs; ne pas voir le support de l'image c'est dit la pub ne pas voir l'image, ni se souvenir)
donc les photos qu'on ne garde pas, il ne faut pas oublier qu'on les a prises, et que ce simple fait les fait entrer dans notre mémoire
le cerveau est une bête bizarre qui n'obéit pas toujours à la volonté; le souvenir, malgré nous, est "au voisinage de"; voisin, dans le temps, l'espace ou toute autre manière de mesurer, de ce qu'on a photographié, mais pas forcément au point exact où est la photo qu'on choisit de garder
Très intéressante en soi mais pas dans le cas présent, qui me parait sérieusement à côté de la plaque. Va falloir que le zozo nous explique comme le présent peut être nostalgique.
Ben, on donne à un évènement présent la force émotionnelle et la profondeur d'un évènement qui a résisté au temps, en le munissant d'attributs visuels de ce passé. La nostalgie, c'est le prix à payer pour acquérir cette force. L'esthétique oblige à voir ce présent, ou ce passé récent, comme un passé lointain et encore en mémoire, donc solide, ET qui n'est plus.
Je ne suis pas qu'il faille voir tout ça (que) comme un pur rapport passé présent dicté par l'esthétique. Lire le billet d'André Gunthert http://culturevisuelle.org/icones/2350 sous l'angle de la conversation d'images (c'est comme ça que je le comprends)
un truc que Google aurait p/d/u faire façon Wave ?
DataSift, ne vend pas de données destinées à la vente ciblée. Je ne sais même pas comment cela fonctionnerait ». On y croit à mort.
si par données ils entendent identité, et par ciblé ils entendent adressage nominatif direct, ça me parait assez crédible; ce que ces boîtes savent faire et vendre, ce n'est pas de la gestion de fichiers de marketing direct, ce sont des modèles multivariés et des probabilités; ça suffit à leurs clients pour faire des campagnes de vente "indirectement ciblées", c'est à dire qu'on vous envoie une offre commerciale non parce que vous avez tweeté ceci celà, mais parce que vous appartenez au segment présentant les caractéristiques qui font que vous répondrez probablement à cette offre; et pour cause, vos tweets ont servi à construire la définition de ce segment
c'est un truc assez troublant dans les stats : ils analysent des données non nominativement, mais les règles de décision qui en sont déduites (à qui envoyer quoi) vous englobent; d'où le sentiment dérangeant d'être ciblé directement alors que non
C'est jamais une bonne nouvelle, ne serait ce que pour les salariés d'entendre ( enfin ici de lire ) ce genre d'information. Mais faut espérer que ça s'arrange pour eux et donc pour surcouf.
C'est pas encore obligatoirement la fin.
perso ça fait quelques années que je n'aimerais pas être à leur place; j'ai failli y bosser vers 2007, au moment où PPR a annoncé l'intention de les revendre. Lors des différents entretiens que j'ai eu, à Daumesnil, je ne me souviens pas avoir jamais ressenti, en passant dans les couloirs, une telle ambiance de travail dans une boîte; salariés silencieux, tendus, management intermédiaire rigide, limite désorienté, management supérieur instable, transmettant les objectifs corporate en mode write only, espérant sans doute soit une promotion soit un départ avec indemnités confortables (et ça n'a pas raté, la cadre que j'ai vue s'est barrée quelques mois après avoir juré la main sur le coeur qu'elle était présente et ultra motivée
PPR a, AMHA, largement contribué à couler cette boîte en essayant de la transformer en machine à cracher de la marge sans tenir compte de l'histoire des gens qui y travaillaient; l'explosion de la concurrence a évidemment joué mais pas que. Quel gâchis...
Uhmmm, ça sent bon la nostalgie de petits geeks parigots par ici
bon quand même Surcouf avait des magasins dans les grandes villes de province (c'était le temps où PPR voulait en faire une FNAC informatique avec des marges maximum)
On focalise sur le fait ce gars jouait aux jeux vidéo, par contre cela ne gène personne de le montrer avec un fusil.
c'est paradoxal, mais on pourrait défendre le port d'armes à feu au même titre que les jeux video; la plupart des gens inscrits en clubs de tir ne sortent pas régulièrement faire un carnage; et ce réel peut être la meilleure manière de limiter ses actions; quand on manipule le couteau, on en sent directement le tranchant
bon, je n'ai pas vraimenet d'opinion sur cette affaire sinon que les jeux peuvent être un cofacteur, et que le cerveau humain n'est pas câblé pour penser en ces termes d'interaction (on traite plus facilement le "c'est causal ou ça ne l'est pas" que "ça intervient dans le terme d'interaction qui représente 70% de la cause" pour reprendre le formalisme statistique)
Bien le cafard après avoir lu le lien Owni...
« Le terme "pur" dans la bouche d’un gouvernement devrait rappeler des choses à n’importe qui ayant étudié l’histoire du 20e siècle. »
bon bon bon, on se calme, il s'agit pas de tondre Air Wick non plus hein
(même si je suis d'accord que la pureté attribuée à une valeur n'est pas de même nature que celle qualifiant un objet physique)
Question subsidiaire : est-ce que le système de reconnaissance apprend aussi les visages des non-membres, pour pouvoir les retagger automatiquement plus tard ?
pour moi, tel que je comprends, il est évident que oui (au sens où : les visages des non membres vont être dans leurs bases de données, attendant d'être taggé, avec la mention temporaire : "ceci est un visage, non identifié mais lié à un tel", et peut être, offert à la vue de l'utilisateur, la question : reconnaissez vous cette personne?)
ne serait ce que parceque techniquement, la photo est probablement d'abord scannée pour détecter tout ce qui ressemble à un visage, avant que chacun de ces objets ne soit comparé à ce qu'ils connaissent déjà
bon ça fait vraiment flipper hein
en particulier, Facebook va acceder au réseau social de la vraie vie (untel a déjà rencontré untel, même s'ils ne sont pas amis Facebook)
Le 1er qui me marque sur une photo sans me demander, je le bouffe.
faut pas oublier de le prendre en photo avant après, c'est pour que Facebook le reconnaisse mieux la prochaine fois :-)
(et puis si ça se trouve, vous recevrez un bon de réduction Alloresto en remerciement)
Reconnaître un visage, ok, c'est des maths quoi, mais reconnaître LE visage, sachant qu'en plus on a pas toujours la même trogne en photo... Mais bref, le propos n'est pas à l'émerveillement ^^
j'ai pas de Facebook donc j'avance avec prudence, mais en fait même quand le visage n'est pas exactement sous le même angle, la même lumière, il y a des invariants qui permettent de reconnaître "avec un bonne probabilité"
et quand ce n'est pas reconnu, c'est à dire mal taggé, je suppose que le propriétaire de l'image accorde assez d'importance au document pour corriger lui même l'erreur, en retaggant, c'est à dire en apprenant au système ce qu'il aurait du trouver, le rendant meilleur la prochaine fois
y peut être des détournements rigolos à faire, tagger, en concertation avec tous ceux qui le peuvent, un visage avc un nom inventé
"et qui était pris au premier degré également par une fraction de son lectorat...
A leur décharge, l'invasion des poissons sodomites sur les rives de la Méditerranée était bien relatée, assez crédible... Un grand moment.