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Juste pour dire que le "A la" auquel il est fait référence dans le papier n'est pas "un truc ringard des ouvriers du Livre", comme le fait dire à l'un des rédacteurs de La Tribune votre journaliste, mais l'hymne que les correcteurs (en existe-t-il encore dans la presse parisienne ?) entonnaient naguère au cours du pot qui suivait les bouclages. Ringard ? Qu'est-ce qui est ringard dans cette histoire de presse papier où tous les métiers se délitent au cours du temps ? Je suis triste pour La Tribune et ceux qui le faisaient vivre, je suis triste pour la presse.
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