La "pauvre" Laurence Ferrari paye les ratées de sa direction en ce qui concerne la TNT et la division du nombre de téléspectateurs par le nb de chaînes. Une chaine dont le but est de fournir de la matière cérébrales aux grands marchands ne doit pas s’étonner d’être traitée comme un supermarché. Concurrence, concurrence quand tu nous tiens !