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N'oublions pas que si le cinéma va bien, le marché de la vidéo touche de nouvelles profondeurs.
C'est le marché de la vidéo qui est directement impacté par le piratage. Notamment la consommation des films dématérialisés, qui souffre d'une disponibilité toujours impressionnante des catalogues, français ou pas, sur les sites de streaming et téléchargement direct.
On peut débattre de l'offre VOD plus ou moins restreinte, du manque d'accessibilité des contenus, et des prix pas attractifs, mais le problème est là.
C'est au mieux une erreur grossière, au pire un gros mensonge.
M. Seydoux a surement voulu dire "Entre le 15 mai et le 15 décembre 2011, aucun film français n’a été piraté en salle et mis à disposition sur le Web".
Mais là encore malheureusement une petite erreur s'est glissée puisque le 26 novembre 2011 un petit film, d'ailleurs distribué par Gaumont, a été piraté en salle française et mis sur Internet, certes dans une qualité horrible. Mais il ne s'agissait après tout que d'Intouchables...
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