Pour ma part DeS trônera toujours au-dessus des DaS. Il y avait un petit quelque chose, une ambiance absolument géniale, que je n'ai pas réussi à retrouver dans DaS.
Peut-être dû au fait que DaS n'était que de la redite à mes yeux. Même si le jeu est très, très bon, je n'ai jamais réussi à le finir, non pas à cause de la difficulté (qui fait bien sûr tout le sel du jeu), mais plus par désintérêt.

Après, c'est les goûts et les couleurs, on aura tous son Souls préféré, ça m'a l'air d'être le même débat que le fameux "le meilleur Star Wars c'est suila".
ça n'enlèvera pas le manque de renouveau dans la série, même en incluant l'univers de BloodBorn. Nomisys tu dis que le studio évolue... je l'espère ! Parce qu'il ne suffit pas de changer un peu la direction artistique pour apporter du nouveau à la série, à mon avis.

Fini Papo & Yo que j'ai trouvé par essayé un beau dimanche ensoleillé par pur hasard. J'étais parti pour jouer une petite heure avant de sortir, finalement j'ai pas vu le ciel de la journée et je me suis fait happer par ce jeu. La thématique est super belle, et le jeu réussit à allier le gameplay et le propos avec brio.
Pour ceux qui connaissent pas, c'est un jeu où l'on incarne un enfant, dont le père est alcoolique et violent. Mais plutôt que de montrer ces scènes dures d'un point de vue réaliste, on est totalement dans le monde fantasmé par le personnage principal, très onirique. Le tout dans un décors de bidonvilles africains magnifiés par des graffs et par la magie du jeu (on peut actionner des mécanismes pour faire se déplacer des maisons par exemple, qui se voient pousser de petites pattes et se déplacent tranquillement pour nous libérer la voie).
On est accompagné d'un gros monstre sombrement appelé Monstre, qui va tantôt nous aider à avancer, tantôt se montrer extrêmement violent. Vous l'aurez compris, le monstre, c'est notre père.

Bref, je pourrais m'étendre des heures sur ce titre. Vraiment, je le conseille. La technique n'est pas super, mais on l'oublie très vite. Et ça se finit en cinq ou six heures, ce qui permet d'assouvir ma boulimie vidéoludique.