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Bonjour à tous !
Je suis un (très) fidèle auditeur de vos émissions, et j’espère pouvoir encore vous écouter les quinze années à venir !
Me viennent en tête deux remarques sur les sujets du moment :
1- Je ne sais pas ce qu’il en est de la publicité sur YouTube, mais quand on écoute vos émissions via des applications de podcast traditionnelles, l’avance rapide de 10, 20 ou 30 secondes ne tient qu’à un mouvement du pouce… autant dire que vous pouvez vous régaler sur la pub, si ça fait vivre l’émission, ça ne me dérange pas. Ne parlons pas trop fort, les régies publicitaires pourraient nous entendre
2- C’est quoi cette obsession de ne pas faire trop long ? De toute façon, vous avez perdu les auditeurs qui recherchent des pastilles de 10 minutes ! Allez-y ! Rien n’est plus plaisant que de démarrer le week-end avec un silence on joue qui dépasse allègrement les deux heures
Votre émission, votre ton, votre façon d’aborder l’art (trop souvent méprisé) du jeu vidéo est unique, merci !
Nicolas
Salut à tous,
Saviez-vous que le gameplay de Maquette (la mise en abîme du petit monde dans le grand) avait été très bien exploité dans une expérience VR sur Steam et PlayStation répondant au doux nom de « a fisherman’s tale » ? Ce jeu, quoique trop court, est une belle réussite. Et ce mécanisme de monde dans le monde est particulièrement prenant en VR, avis à l’ami Patrick
Merci pour vos émissions !
Salut à tous,
Je ne résiste pas à l’envie de revenir sur votre test de shady part of me : comme vous, j’ai été subjugué par la DA, la musique. Le gameplay était par moment virtuose, globalement réussi. Mais là où je me désolidarise complètement, c’est sur le propos, que j’ai trouvé très bon ! Comme vous, j’ai de plus en plus de mal avec les scénarios cryptiques, tres ouverts, sans résolution réelle, souvent trop suggestifs. Je trouve qu’ils en perdent leur force. Là, au contraire, tout est mené et expliqué de main de maître !
SPOILER
On comprend bien sûr à la fin que cette petite fille est simplement terrorisée à l’idée de monter sur scène, on imagine pour son spectacle de fin d’année, où éventuellement une représentation au théâtre. Ce que je trouve très bon justement, c’est qu’ils font monter la sauce pendant tout le jeu, on imagine qu’elle est autiste asperger, ou qu’elle est dans un hôpital psy, ou d’autres choses, toutes aussi terribles les unes que les autres. Le jeu montre qu’un problème qui semble anodin, peut, dans la tête d’un enfant, prendre des proportions démesurées. Tout colle : les gens de l’extérieur qui la regardent (les spectateurs bien sûr), sa peur d’être dans la lumière (dans celle des projecteurs), la personne (on croit longtemps à un médecin, à un psy) qui la pousse à se faire violence, à se montrer, à aller dans la lumière (son prof de théâtre, son instit). Voilà, j’ai vraiment trouvé le twist final épatant, et je ne pouvais pas laisser une telle injustice sans réponse !
Merci pour vos émissions !
Nicolas
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