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Il faut noter que de plus en plus, les fournisseurs d'accès internet se positionnent en vrais diffuseurs de musique. Or, il faut relever que, contrairement aux diffuseurs "classiques" (radios, télévisions, spectacle vivant), les FAI ne versent aucune contribution à la SACEM. D'où, premièrement, une concurrence déloyale, mais surtout une spoliation organisée des auteurs, compositeurs, bref des artistes, et avec la complicité active des maisons de disques.
Celles-ci clameront haut et fort qu'elles font ça dans l'intérêt des artistes. En fait, c'est le mode de protection et de redistribution du droit d'auteur "à la française" qui est menacé.
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