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Belle info, il est intéressant de constater les répercussions sur l'offre légale d'une élimination si brutale d'un biais de "piratage" de l'offre culturelle*. D'autant plus que la répercussion est légèrement plus probante du fait des réticences créée par l'Hadopi quant à l'autre grand canal illégal, le peer-to-peer. Evidemment les substituts à Megaupload restent innombrables : autres ddl (j'ai regardé un Woody Allen et toute une saison de Walking Dead sur putlocker.com), ou peer-to-peer pour les connexions sécurisées ou anonymes (Free-Wifi...) ou téméraires - personnellement je n'ai pas encore rencontré de victime de l'Hadopi.
Tout ça pour dire que le seul type réaliste cité dans l'article est bien Olivier Ruffin, le fondateur de Replay.fr, le seul aussi qui fait peut-être le lien entre "consommation" illégale de la culture et simplicité de l'offre pour le consommateur, en réunissant un ensemble de VoD sur une même plateforme. La conclusion de l'article parle d'elle-même, et les responsables VoD des chaînes télévisées se mettent le doigt dans l'oeil...
*D'autant plus brutale que les sites tout aussi bien nourris que MegaUpload tels que VideoBB ou PureVid ont rendu inaccessible toute leur base de donnée quelques heures après la fermeture de MegaUpload : mais à quant l'enquête à ce sujet?
France Télé n'a pas l'air très fier de sa petite réalisation... du coup, supprimée de Youtube et dailymotion. On peut encore y accéder ici
http://www.neou.fr/super-crapule-propagande-hadopi.html
Décidément, incontrôlable ce web
Un peu de mauvaise foi dans ce constat partisan; il semble évident que ceux qui piratent le plus achètent aussi le plus de biens culturels, puisqu'ils sont par définition de plus gros consommateurs... tout comme ceux qui profitent le plus d'un buffet à volonté sont aussi ceux qui achètent le plus de nourriture en grande surface...
Pour le coup, réguler la publicité sur les sites de partages de fichiers privés n'est pas de trop; la mmoitié des site de torrent diffuse des oublicité et lien vers des sites pornographiques, alors que les utilisaters sont de plus en plusn jeunes
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