Denisot quitte Canal pour le Panama, ça commencait à le faire Suez...

(Oui, enfin bon c'est vendredi quoi)

GARRIBERTS

Type : Docteur à deux têtes (pensantes), 7 mires sur ordonnance.
Mise en circulation : Il était une fois à Bordeaux...
Vice caché : Oui et il ne manque aucuns boulons (quoique).
Equipement : Fines plumes sur le clavier et les écrans, écrans plats, plats au moulin et au four, décapants diablement efficaces du tube cathodique.
Direction : A gauche toute, Libération, GPS (Gros Poutous Salés).
Cote : à côte.

1931 - TINTIN AU CON... GO ! *
A nouveau inspirée devant le papier des Garriberts (coucou bisoux poutous coeur-avec-les-doigts, love love) et leur titre absolument fabuleux (absoluteuli faboulous) : "Harry Roselmack, Libertintin Reporter", j'ai remonté la pendule du temps et essayé de me remémorer les titres des albums de Tintin. Et là, quelle ne fut pas ma surprise, des titres plus explicites les uns queue les autres...
Dans le désordre chronologique :

1963 - LES BIJOUX DE LA CASTAFIORE
N'est-il pas choupinou ce titre ? N'est-il pas brillant et lourd de sous-entendus ? N'est-il pas taillé (oups) sur mesure telle une pierre précieuse sous les doigts agiles et précis d'un jeune éphèbe diamantaire belge ? N'est-il pas rouge comme le rubis étincelant et provoquant dans la nuit pourpre améthyste suintante de désirs suspendus (en un mot) à vos lèvres ? N'est-il pas un joyau polissé à la face scintillante et aux bordures asymétriques (en un mot) ? N'est-il pas aussi précieux que la perle qui s'impatiente hystérique tourbillonnant sur elle-même dans l'huître fatiguée en geignant grossièrement qu'on la laisse sortir de l'eau, non mais à l'eau quoi ? Ce titre n'est-il pas là le signe de la promesse d'un organe bien tendu poussant bien haut la note ? Ne sont-ils pas, comme Diderot le pensait, un peu indiscrets ces bijoux ? N'est-il pas lyrique ce titre, bordel ?!
Bref, ne sont-ils pas un peu de famille ces bijoux ?...
(Comment ça non ?)

1934 - LES CIGARES DU PHARAON
Oui oui oui, oh ca va hein, je vous vois venir. Je vois bien débouler en cascade dans vos esprits ludiques quelques pensées des plus lubriques, bande de p'tits filous (petits suisses, Gervita, Danette : tout le monde se lève pour... Bref). Vous pensez Sofitel, vous pensez Clinton, vous pensez pire Hamid (oui bon), vous pensez et-si-je-faisais-moi-aussi-un-bouquin-pour-dire-ce-soir-ou-jamais-que-oui-DSK-est-aussi-passé-par-moi-tu-vouas-quoi, vous pensez turlututu-chapeau-pointu, vous pensez Rastapopoulos, vous pensez St Claude, vous pensez spécialités espagnoles, vous pensez enfumage, vous pensez Evin (euh non pas Evin), vous pensez bandage (des momies, espèce de vicieux...), vous pensez inflation, vous pensez capitaine Haddick, vous pensez printemps, valseuses & banquette arrière. Vous pensez donc vous êtes. Et pis c'est tout.
Sachez, bande d'obsédés sévèrement lettrés (c'est c'ui qui dit qui est, hihihi...), que Freud disait : "Parfois un cigare, c'est juste un cigare..."

1962 - LE MYSTERE DE LA TOISON D'OR
Un titre qui laisse songeur n'est-ce-pas... Queue d'effluves, diantre !
Ca sent la plage du Cap d'Agde, le cocktail waikiki sans passion, les tifs blond platine avec racines, la musique festive à la queue leuleu, la gourmette "homme" en plaqué métal -avec écrit son p'tit prénom dessus- qui fait cling-cling contre le volant métal de la bagnole rouge-ringos décapotable (elle au moins), les cuissots gigots ficelés, les chaînettes rouillées lacérant des chevilles gonflées par la moiteur dégoulinante de l'impudeur ambiante, les dunes qui gémissent à gorges déployées leurs joies ensablées entre les herbes folles, le mmmouuiiii-mmmouuiiii, les colliers ras du cou (non non, j'ai dit du cou), le before kir-rosé-pêche-olive-chips-et-main-dans-la-culotte et le mauvais after-shave.

1948 - LES 7 BOULES DE CRISTAL
Mais dis donc, où est-elle la 8ème...

1956 - L'AFFAIRE TOURNESOL
Dupont & Dupond ou Le mariage pour tous.

1953 - OBJECTIF LUNE
La messe est dite.

* Merci chéri pour la suggestion.

AINSI FONDS FONDS FONDS

Alors donc, TF1 va nous proposer en février une nouvelle émission dont le concept est de faire plonger des vedettes.
Bon.
Plonger d'accord, mais plonger dans quoi ? Dans les limbes de leurs neurones ? (remarquez, le voyage va être rapide au moins), dans une mer sans eau ? (Sanzot, une vraie boucherie), dans un océan du vide ? ...

...

Et alors donc, le titre de ladite émission est : Le Grand Plongeon.
Bon.
Dis donc, ça bosse dur niveau méninges à la prog' hein... Pfiou.
Ah... Ah. Attendez...

!!! BREAKING NEWS !!!

Taratata, je m'insurge les zamis...
On me dit que le titre exact est : Splash, Le Grand Plongeon.
Ca change tout !
C'est la cerise sur le pompon, la mouche sur le gâteau, la porte ouverte à tous les hublots ! Que dis-je...
La goutte d'eau qui fait déborder la vase...

Mais quelle imagination diantre et cinéphiles encore avec ça : Splash quoi ! THE film de l'année 1984 !

Bon ok, aujourd'hui le film sent un peu comme les algues vertes de la plage du Havre fin juillet mais tout de même ; c'est l'intention qui compte (mouais).

Des vrais fondus, des vrais findus ces programmateurs (picard sans aucun doute) : des panés si, si, si avec des yeux dans les coins, des captain iglou !
i glou, i glou...

TROIS PETITS TOURS ET PUITS SANS FONDS

I glou.
Plouf.

PARENTHESE ( INATTENDUE (
Bon. Moi j'veux bien hein l'émission, les chaussons, les trognons, (mangez des chaussons aux pommes), les coins-du-feu-je-te-raconte-des-trucs, les ohlala-je-vais-pleurer-chuis-trop-pému, il-est-drôlement-bon-ton-rôti, sauf QUE !

Sauf que je n'arrive pas du tout du tout à retenir le titre de cette émission et mon esprit vagabond (coquin va) me soumet des trucs du genre :

La PARENTHESE INEDITE ())
Pas méga vendeur, ça fait un peu one shot ou émission pilote comme titre.

La PARENTHESE INTERDITE (__((______::
Alors voilà c'est le titre d'un film de 2005, dont l'histoire traite d'un sujet funkygrooveyoupitralala. Jugez vous même ; un enfant de 8 mois immunodéficient et ses chances de survie (notez que je n'ai pas vu le film).

La PARENTHESE ENCHANTEE (^^)
Alors voilà c'est aussi le titre d'un film un peu plus jouasse. Jugez vous même : "Eté 1969 sur la Côte d'Azur - Deux amis d'enfance rencontrent deux copines; Vincent, bien entreprenant, essaie de courtiser Eve, très réservée, quand Paul, plutôt timide, se fait draguer par la belle et hardie Alice. Quelques années plus tard, Paul épouse Eve, tandis que Vincent se marie avec la sage Marie. Il ne peut oublier cependant la nuit passée autrefois avec la délurée Alice." Gnagnagna (notez que celui-là je l'ai vu, mouais pas mal).

La PARENTHESE DTC (o)
La parenthèse Dans Tes Chaussons.
Aaah ben voilà, ça c'est un bon titre.

MOQUETTE
C'est bien mon cul sur la moquette
Si je ne fais point deux trois risettes
En parcourant les pensées effrontées
De mon docteur préféreille...

RISSILE
Allonge les cils et pis c'est tout.

EXOCET
Voisin, voisine, quelle vieille jolie petite série
Je me souviens bien, émue de toutes ces nuits
A regarder ces charmantes couillonnades surjouées
Et leurs habits z'élégants de nos vertes z'années.
(1988 - 1990)

BONNE NOUVELLE
Vous m'avez fait peur, Docteur...

MAUVAISE NOUVELLE
Vous me rassurez, Docteur.

CQVP - Oui, Loulou c'est moa !
(Y a qu'à voir ma cave...)

TRONCHOSCOPE... Mon Dieu qu'c'est bon !
Presque aussi bon que du saumon.

Bon d'accord j'arrête de faire la con
Avec ce morceau de poisson...

Et me voilà d'un coup dotée d'une nouvelle addiction :
Les rimes en ON !
On est un con.

Sans même faire de brouillon, sans prendre un bouillon
(Car OUI il pleut, Monsieur Guillaume Launon !)

Je vous présente par cette missive mon ébullition
Lorsque je vous lis, Garriberts, en toute saison
Mes yeux frisent et s'écarquillent comme du liseron !

Avec toute mon admiration.

Delarue s'éteint disparu.
Garriberts c'est clair : deux lumières !

Tu parles d'une bonne nouvelle doc...

Je vais encore soliloquer tout l'été et me sentir bien dépourvue quand la bise sera venue (cela dit avec ce temps pourri, on se la prend déjà dans la tronche la bise).

Pas un seul petit morceau de Garriberts, de vers ou de vermisseau.
Alors j'irai crier famine à Martine ma voisine, la priant de me prêter quelques inspirations pour susbsister jusqu'à la saison nouvelle.

Je vous payerai, en vers et contre tout, avant l'août, foi d'animal !
Intérêt et principal.
(Mouais...)

Mais la Martine n'est pas prêteuse et n'a rien de bien trippant dans son escarcelle usée de gueuse.
C'est là son moindre défaut (avec celui d'écouter fort JJ. Goldman à 2h25 du mat).

Que faisiez-vous au temps chaud ? Me dit-elle de sa voix de crécelle
- Nuit et jour à tout venant, j'écrivais ne vous déplaise
Vous écriviez ? J'en suis fort aise.

Eh bien, dessinez maintenant !

(Bonnes vacances les Garriberts)

Salut les SaGarriberts
Alors pour une fois, j'ai fait le truc à l'envers.

J'ai osé regarder le programme avant de vous lire.
(Oui je sais c'est pas bien du tout du tout, c'est mal, très mal mais bon je me confesse donc on va pas jouer à tête-dans-l'eau-attachée-sur-une-planche-pivotante pour autant hein ! Passez l'éponge...)

Et puis, vous savez quoi ?
Ben en plus j'ai bien aimé Inquisi... Blurp blurp...Blurp.

Vous allez rire mais je suis DTC.
Et en couleurs, s'il vous plaît !
http://www.liberation.fr/programmes-pod … ton-casque

Le rapport avec l'article... Euh...
:-)

N'empêche que ce soir : tout le monde en Hollande !
(Façon de parler)

Des pas drôles et des actes
Hollande-Copé
France 2 / Jeudi 15 mars / 20h35
(Après la pub... Nan, je déconne)

Un seul mot me vient : tristesse.
Oh et puis non, tiens finalement je vais développer un peu.

Quelle tristesse donc de n'avoir que si peu d'inspiration, si peu d'imagination, si peu de temps (la bonne blague...), si peu d'amour ?

Faire appel à un prestataire (aussi "talentueux" soit-il) pour exprimer ses propres émotions -émotions amoureuses de surcroît- ca me laisse perplexe pour ne pas dire sur le cul.

Dieu merci (et je suis athée c'est dire comme je le remercie chaudement), le lendemain de la St Valentin ; c'est la St Claude (spécialiste de la pipe pour les incultes), ca laisse un espoir de voir grossir (oups) peut-être un peu les neurones esseulés et ca laissera possiblement un peu de place à l'inspiration*...
ou pas.

*Oui, oui j'aurai pu dire aspiration mais bon, le sujet est grave bordel !
On ne peut pas toujours faire dans la gaudriole !

...

Quoi queue.