Mouais. Monsieur le président de la CNIL a des pudeurs de rosière pour un truc auquel on n'est pas obligé de s'inscrire et dont je ne suis pas très sûre de l'utilité et que l'on peut alimenter a minima. Par contre il n'est pas du tout choqué que les utilisateurs de la carte navigo, qui sont quasiment contraints de la prendre pour se déplacer sans y engloutir un salaire rarement à la hauteur de celui de monsieur le président de la CNIL, soient fliqués dans leurs déplacements. Alors qu'il aurait suffit que la CNIL, comme c'est son rôle ait refusé à la RATP le droit de garder en mémoire plus d'un trajet (le dernier) sur la journée.

Mais c'est tellement facile de donner des leçons dans un domaine hors de son champs de compétence.