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Tu as raison "Non sequitur" : un unique mot peut encore être un hasard. Mais cinq mots dans un ordre précis, à la lettre près, c'est impossible.
De toutes façons, il y a un code de la propriété intellectuelle, qui protège les créateurs et même explicitement les TITRES des oeuvres.
Houellebecq et Flammarion n'ont donc aucunement le droit d'utiliser un titre déposé par Michel Levy (et jamais utilisé auparavant pour une oeuvre de fiction).
En plus d'être illégal, c'est malhonnête. Cela ne peut se faire que par l'abus de leur pouvoir médiatique et de leur argent - Editions 93, l'éditeur de Levy, n'a sans doute pas les moyens de combattre les avocats d'un grand groupe d'édition.
Honte à eux, et en attendant, lisons ce qui nous plaît et pas les âneries de Houellebecq, dont les média nous rebattent les oreilles.
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