Excellente initiative britannique à laquelle la France s'honorerait de collaborer. Ce pseudo monopole de l'édition scientifique ne demande qu'à tomber si les principaux contributeurs se mettent d'accord pour monter leur propre système, qui plus est aidé par leurs gouvernements respectifs. L'argent du contribuable serait bien employé à mettre en place une telle infrastructure pérenne plutôt que de payer chaque année de ruineux abonnements. Encyclopædia Britannica est tombé à cause ou grâce à Wikipedia, au suivant !

Que de pleurnicheries pour soi disant 1% de ses clients !
A moins que ... Les trois gros assurent avoir perdus en tout 560 000 clients alors que Free en a pris, au bas mot, 2 millions soit 1,4 millions d'abonnés venus de nulle part. Cela parait étonnant et surtout, toutes les manœuvres des trois gros sont bien suspectes pour seulement 1% de leurs clients.

Il y a quelques temps, je fais une réservation pour deux nuits d'hotel via Internet (booking.com). Je souhaite régler directement la totalité du séjour mais ce n'est pas possible. On peut juste laisser son numéro de carte bleu. Quelque temps après, je recois un coup de téléphone de l’hôtelier qui souhaite avoir mon code confidentiel qui est au dos de la carte, m'expliquant que c'est le seul moyen pour lui de débiter ma carte si je ne me présente pas. Ayant bien lu mon contrat carte bleue qui signifie expressément que si ce numéro est divulgué, ma responsabilité est engagée et donc je refuse. Comme l’hôtelier ne sait pas m'encaisser directement, je laisse tomber la réservation. Deuxième hotel: impossible de payer à l'avance et je donne le numéro de carte bleue mais pas le code confidentiel. Coup de téléphone peu après mais je crois que c'est toujours le premier hotel et donc je refuse à nouveau de donner mon code confidentiel. Le vendredi soir, je vais à l'hotel à 18h30 qui m'apprend que ma chambre a été attribuée à quelqu'un d'autre. Plus d'hotel ! Je téléphone furieux à booking.com qui me signale qu'ils ne sont que de simples intermédiaires et donc pas concernés. Cela se termine bien puisque l'hotel me rappelle quelques minutes après pour me dire qu'une suite s'est libérée et qu'il me la font au prix de la chambre. Le lendemain matin, avant d'aller au petite déjeuner, je passe à la réception où il n'y a personne et sur le comptoir, je tombe sur le fameux registre où sont consignés les numéros de carte bleue avec le code confidentiel associé: une vrai mine d'or !
J'ai téléphoné à la DGCCRF pour leur signaler ces pratiques hors la loi de l’hôtellerie française mais il m'a semblé qu'ils s'en foutaient royalement. Idem pour ma banque.

Sur le réseau ADSL, il n'y a pas photo entre Free qui est notre opérateur et celui de nos voisins qui sont sous Orange. Les débits n'ont rien à voir et régulièrement, on est obligé de les accueillir sur notre Wifi. On a eu le même incident, il y a une année à savoir une perte de connexion ADSL et on a pu comparer les deux services après-vente: dans mon cas, j'ai eu affaire à un élève ingénieur troisième année et pour Orange, il s'agissait sans doute de personnes recasées au SAV pour cause de suppression de poste. Mon problème fut solutionné en un seul coup de téléphone de dix minutes qui a résolu également le problème de mes voisins qui venaient de passer tout le week-end avec le SAV Orange pour aucun résultat tangible. Si vous pouviez faire remonter l'information à votre employeur, ça serait gentil. Merci.

bah oui, Leclerc ne se prive pas de signaler que les grossistes se gavent et qu'il est obligé de se battre pour le consommateur. Xavier Niel a seulement fait le même constat que beaucoup de personnes en France: les tarifs étaient au moins deux fois trop chers

Si les abonnés Sosh ont droit au service en boutique, qu'est ce qui peut bien rester aux abonnés orange à part payer un prix bien plus important. La présentation de Sosh, c'est tout par Internet parce que le service en boutique, ça se paye (sic). Madame la directrice est en train de faire la confusion sur ses propres produits, preuve que rien n'est vraiment clair dans cette jungle

j'ai regardé ce qu'ils proposaient et un restaurant local proposait un repas du midi dont le prix était à 45€ au lieu de 110€. Le problème, c'est que jamais le repas proposé ne valait 110€ et même à 45€, cela fait très cher pour manger des "merda di can" niçoises.

l'UMP montre encore une fois son ignorante totale d'Internet et de ses mécanismes. Enfin, cela ira devant un juge et comme d'habitude le ministre perdra en justice. C'est finalement aussi compliqué d'expulser des sites Internet que des personnes: trop dure la vie de ministre

c'est surtout que à cause d'HADOPI, les gens abandonnent le P2P qui restait en partie dans le réseau privé des FAI pour aller sur des sites comme MU qui sont à l'extérieur du réseau et cela sature. Le bridage devient naturel car tout le monde ne peut pas passer à grande vitesse par le même tuyau.

le nombre de pseudos a explosé sur FB et maintenant, beaucoup d'établissements comme les salles de spectacle, les bars, les restaurants ont leur pseudo FB enregistré comme une personne physique. N"oublions pas les pseudo comme ceux de joueurs de poker et on arrive à largement plus de personnes virtuelles que de personnes réelles

à lire et à tester les dernières annonces de google tant pour la recherche en temps réel des tweets que la suggestion de followers (superbe appli: http://www.followfinder.googlelabs.com/ ), on s'aperçoit que twitter avec son ouverture d'API's a encouragé la venue de coucous qui se mettent dans le nid et vont tout gober, y compris les recettes publicitaires. Au final et si Google est magnanime, il fera un gros chèque pour racheter twitter mais il peut fort bien se contenter de cette situation. La vraie question est donc maintenant: comment obliger à Google à sortir le carnet de chèques et faire l'acquisition de twitter ?

ça ne coute strictement rien d'y rester. Les robots font leur boulot de toute façon et Google, c'est aussi le marché de la téléphonie qui lui aussi est très prometteur. On ne quitte pas un marché qui ne coute rien sans raison et parler d'amour propre est très loin des valeurs d'une entreprise. Avec ces petits raisonnements à la va-vite, aucune entreprise ne ferait du business sauf la première du secteur