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«127 Heures», Danny Boyle à bras raccourcis
L?Anglais transforme le calvaire lent et solitaire d?un trekkeur en frénésie disco. Remuant.
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Mouais... De toute manière je n'ai jamais vu un film traitant de l'escalade, l'alpinisme ou la spéléo réussir à me captiver là où les documentaires sur le sujet y arrivent parfaitement.
C'est bien sur en grande partie du au fait qu'au cinéma, il faut toujours qu'un piton cède, qu'une dégaine casse ou autre artifice dramatique (en spéléo, c'est les boyaux qui s'effondrent évidement). Les scénaristes sont encore bloqué sur le schéma Escalade = Danger/mort et c'est quand même navrant.
Ton OS est open source, ton esprit par contre...
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Plus qu'un film sur l'escalade, 127 hours est un film sur la survie et la capacité d'un homme à s'en remettre aux autres. Et comme c'est l'adaptation d'un fait réel, les scénaristes n'avaient pas exactement une liberté totale.
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Dommage, James Franco est plutôt un bon acteur.
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