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«42», v'là les geeks !
Xavier Niel, patron de Free, annonce l'ouverture d'une école entièrement gratuite nommée «42», offrant une formation d'informatique en 3 ans sans condition de diplôme ou de compétences à l'entrée.
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Ça me rappelle les "écoles Tapie"...
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Autant free mobile apportait un vent frais dans l'industrie du mobile, autant 42 on en avait ptet pas si besoin que ça...
Ils enrobent le produit avec tous pleins d'arguments spectaculaire (regardez notre éducation p2p, regardez nos iMac flambant neuf, regardez nos trouze mille m2 en plein Paris).
Mais regardez le fond? Les profs... des anciens d'epitech, epita... Et le programme...non mais le programme!
Aussitôt sorti du bac, aussitôt transformé en soldat à coder. Aucune ouverte, aucune culture, pas de cours de maths, algorithme (pourtant pas inutile), pas d'évasion possible, non non non tu codes de 9h à 23h et en plus tu peux revenir à 3h du mat c'est ouvert! XN ne veut pas innover en créant des profils nouveaux, il veut juste industrialiser le métier du code pour servir les SSI, toujours plus gourmandes en codeurs peuchèr. (et c'est ptet justement ça que recherche le marché du travail...)
Vraiment triste. Ca aurait pu être une belle école avec tout ce fric injecté mais non, c'est un pauvre radeau bricolé à partir de vieilles planches de bois et quelques courants d'air "artistiques".
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La fac, elle est à côté de la plaque – « pas adaptée aux besoins des entreprises ». Les écoles privées, si elles sont plus « qualitatives » à son goût, restent hors de prix
Et les écoles d'ingénieurs? Personne pour relever cette omission sans doute volontaire de Niels?
Sinon, je me demande qui nos jours a vraiment lu le guide du routard galactique, à mon avis pas la moitié de ceux qui ressortent les références à tout bout de champ.
Reste une question : pourquoi des macs ?
Camille voyons
Aussitôt sorti du bac, aussitôt transformé en soldat à coder. Aucune ouverte, aucune culture, pas de cours de maths, algorithme (pourtant pas inutile), pas d'évasion possible, non non non tu codes de 9h à 23h et en plus tu peux revenir à 3h du mat c'est ouvert!
Ben, d'un autre coté, pour taper du code au km, faudrait des formations courtes type bac technique/pro, voir BTS pas forcément plus loin. Après tout, ce ne sont que des ouvriers 2.0. Nul besoin que tout le monde ait un niveau cadre, juste les chefs de projet, ça serait suffisant.
Ton OS est open source, ton esprit par contre...
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Mais regardez le fond? Les profs... des anciens d'epitech, epita... Et le programme...non mais le programme!
Aussitôt sorti du bac, aussitôt transformé en soldat à coder. Aucune ouverte, aucune culture, pas de cours de maths, algorithme (pourtant pas inutile), pas d'évasion possible, non non non tu codes de 9h à 23h
Ce qu'il y a, c'est que les recruteurs dans les SSII m'ont l'air très stupides et ne cherchent pas des gars forts en algorithmique et en méthode qui sauront apprendre rapidement un nouveau langage informatique, ils cherchent des gars qui ont marqué sur leur CV la liste des technos qu'il faudra utiliser pour la mission pour laquelle ils cherchent à recruter.
"Des scientifiques et des savants du monde entier, se sont réunis pendant des mois et des mois pour dresser un constat, c’est le constat qui est accablant, le monde va à sa perte si on continue à émettre du carbone qui crée un trou dans la couche d’ozone et qui brise les équilibres de la planète. Ça c’est un constat."
— Nicolas Sarkozy, le 24 septembre 2009.
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Reste une question : pourquoi des macs ?
10 Points for Gryffindor !
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Why not ?
aka ParisForce sur Raging Thunder II /iPhone, internet multiplayer. :-D
minicheck.tumblr.com
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à 10 ans ils savent deja programmer ces petits morveux, c'est les ressources humaines qu'il faut faire évoluer, et arreter d'engager sur CV et diplomes bac +79 à la con....
Reste une question : pourquoi des macs ?
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Pretendre que "les résultats scolaires ne traduisent pas l'aptitude à la logique informatique" est parfaitement ridicule. Les mathematiques telles qu'elles sont enseignees en France preparent fort bien au raisonnement abstrait et a l'algorithmie.
A lire cet article j'ai l'impression que la formation relevera sans doute plus du "CAP codeur" que pas du cursus "computer science". D'ailleurs il ne faut pas stigmatiser cette ecole en particulier. C'est une tendance de fond que de former des gens qui n'ont pas la moindre idee de ce qui se passe sous leur machine virtuelle. On trouve de moins en moins de diplomes qui ont fait de l'assembleur a l'ecole par exemple. A la place, on a des gens qui savent copier/coller un bout de Java avec un bout d'XML mais qui seraient bien infoutus de vous exlpliquer pourquoi et surtout comment ca marche.
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Pour avoir cotoyé des ingés Epita et des diplômés Epitech, la technique «peer-to-peer» aussi appelée «les élèves font cours» ne faisait pas l'unanimité.
J'espère qu'ils vont mettre des claviers PC sur leur macs, parce que le [ avec ctrl meta maj pomme 3 et xcode qui plante environ toutes les 20 minutes (c'est pas un troll, c'était véridique avec la version d'xcode que j'avais à l'époque), y'a mieux pour faire du code...
Sinon pourra peut-être y avoir des labos intéressants (l'Epita en avait ou en a encore un intéressant en synthèse d'image).
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Et les écoles d'ingénieurs? Personne pour relever cette omission sans doute volontaire de Niels?
Disons que niveau écoles d'ingénieurs, les post-bac ne sont pas toujours données et pour les post-prépa... il faut déjà réussir à rentrer en prépa, tenir les 2 ans et réussir les concours en sortie. Pas sûr qu'après tout ça, les élèves ingénieurs rêvent de passer leur temps à coder.
Ben, d'un autre coté, pour taper du code au km, faudrait des formations courtes type bac technique/pro, voir BTS pas forcément plus loin. Après tout, ce ne sont que des ouvriers 2.0. Nul besoin que tout le monde ait un niveau cadre, juste les chefs de projet, ça serait suffisant.
Il me semble que la profession d'analyste-programmeur correspond à peu près à cette description, c'est un niveau bac+2. Enfin ça, c'était il y a 4 ans quand je passais mon bac, ça a peut-être changé. Pour la 2ème partie de la citation, effectivement en école d'ingé on nous apprend justement en plus du code à concevoir les projets dans les grandes lignes, les planifier mais en aucun cas le but n'est de les faire coder par des ingénieurs.
On trouve de moins en moins de diplomes qui ont fait de l'assembleur a l'ecole par exemple. A la place, on a des gens qui savent copier/coller un bout de Java avec un bout d'XML mais qui seraient bien infoutus de vous expliquer pourquoi et surtout comment ca marche.
De toutes les écoles d'ingénieur que je connais (je ne sais rien des autres formations), aucune ne fait d'assembleur. L'écrasante majorité enseigne le C, puis viennent le C++ ou le Java. Avec la moitié des élèves qui sont intéressés par autre chose que la programmation, pourquoi enseigner l'assembleur en 2013 ? Si je pose la question à mes professeurs, il y a de grandes chances que la réponse sera "mais qui code encore en assembleur ?". Ceci dit, ça m'aiderait bien le jour où je voudrai programmer ma calculatrice graphique avec autre chose que le Basic fourni avec (c'est-à-dire, un mélange C/assembleur).
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Ce qu'il y a, c'est que les recruteurs dans les SSII m'ont l'air très stupides et ne cherchent pas des gars forts en algorithmique et en méthode qui sauront apprendre rapidement un nouveau langage informatique, ils cherchent des gars qui ont marqué sur leur CV la liste des technos qu'il faudra utiliser pour la mission pour laquelle ils cherchent à recruter.
D'un point de vue business, ce n'est pas de la stupidité; c'est juste une politique de RH en adéquation avec le métier de la boite. Le métier d'une SSII est de générer autant d'activité que possible avec une marge satisfaisante (10~30% une fois les couts de structure et le risque d'inter-contrat pris en compte). Le moyen le plus simple et extensible de faire ça est d'avoir des tas de profils qui rentrent dans des catégories pré-établies pour les revendre par lots à des clients finaux.
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A quoi ca sert de faire le l'assembleur? A comprendre ce qui se passe quand on programme en natif (C / C++ / ...). Il faut quand meme savoir qu'il y a des gens qui sont incapables de decrire ce qui se passe sur la pile quand ils font un appel de fonction. Pire, il y en a qui ne savent meme pas ce qu'est la pile. C'est grave quand meme. Ils ecrivent du code mais ils en comprennent pas ce que ce code fait. Sans leurs IDEs et leurs debuggers graphiques integres, ils sont aussi utiles qu'une sucette parfumee a la merde.
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Disons que niveau écoles d'ingénieurs, les post-bac ne sont pas toujours données et pour les post-prépa... il faut déjà réussir à rentrer en prépa, tenir les 2 ans et réussir les concours en sortie. Pas sûr qu'après tout ça, les élèves ingénieurs rêvent de passer leur temps à coder.
On peut aussi voir ça à l'envers et être content de "coder" finalement.
Comme le suggère HerbertWest, il y a une différence entre du "cap codeur" (sûrement faire du Visual Basic chiant et là on peut comprendre de pas du tout en rêver) et de la "computer science" (du genre faire un bon algo de data mining par exemple, et le voir prendre vie).
Les algos écrits (je ne parle même pas des théories sous-jacentes) pour certains produits sont d'un bon niveau d'abstraction mathématique et nécessitent d'avoir un bon bagage autant scientifique qu'informatique.
Dans ces cas, un bac + 5 (y compris l'epitech qui est +5 si je ne m'abuse) n'est pas superflu.
Peut être qu'un bac + 3 type "42" suffirait, ça je ne sais pas.
Il me semble que la profession d'analyste-programmeur correspond à peu près à cette description, c'est un niveau bac+2. Enfin ça, c'était il y a 4 ans quand je passais mon bac, ça a peut-être changé. Pour la 2ème partie de la citation, effectivement en école d'ingé on nous apprend justement en plus du code à concevoir les projets dans les grandes lignes, les planifier mais en aucun cas le but n'est de les faire coder par des ingénieurs.
Pour moi, cela relève d'une grande incompréhension de ce qu'est réaliser un projet. Par ailleurs je ne sais pas vraiment ce qu'est un "analyste programmeur" et j'ai passé mon bac il y a plus de 4 ans...
Si on pouvait aussi simplement séparer conception et réalisation il n'y aurait par exemple aucun problème à délocaliser le code.
Or, ça ne marche malheureusement pas (en tout cas dans les boites où j'ai travaillé).
Je suis par ailleurs dans une grosse entreprise qui a 75% de ses effectifs en R&D, quasiment tous ingénieurs et faisant et la conception et le code, cela jusqu'à un bon niveau de hiérarchie.
Il existe aussi le métier dit d'"expert", celui qui comprend comment marche le C++ et qui est assez mal vu en France, puisque monter en hiérarchie signifie uniquement gérer des projets.
HerbertWest a écrit :On trouve de moins en moins de diplomes qui ont fait de l'assembleur a l'ecole par exemple. A la place, on a des gens qui savent copier/coller un bout de Java avec un bout d'XML mais qui seraient bien infoutus de vous expliquer pourquoi et surtout comment ca marche.
De toutes les écoles d'ingénieur que je connais (je ne sais rien des autres formations), aucune ne fait d'assembleur. L'écrasante majorité enseigne le C, puis viennent le C++ ou le Java. Avec la moitié des élèves qui sont intéressés par autre chose que la programmation, pourquoi enseigner l'assembleur en 2013 ? Si je pose la question à mes professeurs, il y a de grandes chances que la réponse sera "mais qui code encore en assembleur ?". Ceci dit, ça m'aiderait bien le jour où je voudrai programmer ma calculatrice graphique avec autre chose que le Basic fourni avec (c'est-à-dire, un mélange C/assembleur).
C'est marrant mais moi (qui ai fait une école d'ingé pas trop mal classée) j'ai eu des cours d'assembleur, au moins un module.
Pourquoi enseigner l'assembleur ? Mais parce que c'est le meilleur moyen de comprendre comment ça marche vu que tout finit en code traduisible en assembleur. J'avais même du VHDL et de l'électronique et je sais comment marche un multiplexeur.
C'est toujours pratique de comprendre ce qu'est un dépassement mémoire par exemple. On peut partir du principe que plus on sait ce qu'on fait, plus on est efficace, voilà à quoi ça sert de manière pragmatique.
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A quoi ca sert de faire le l'assembleur? A comprendre ce qui se passe quand on programme en natif (C / C++ / ...). Il faut quand meme savoir qu'il y a des gens qui sont incapables de decrire ce qui se passe sur la pile quand ils font un appel de fonction. Pire, il y en a qui ne savent meme pas ce qu'est la pile. C'est grave quand meme. Ils ecrivent du code mais ils en comprennent pas ce que ce code fait. Sans leurs IDEs et leurs debuggers graphiques integres, ils sont aussi utiles qu'une sucette parfumee a la merde.
Et ils font perdre leur temps aux autres qui ont mieux à faire, pour couronner le tout.
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Petit détail linguistique qui a son importance. Ce ne sont pas des geeks mais des nerds.
Autres détails, il est possible de faire une école d'ingénieur, sans forcément devoir débourser 5000 ou 8000 euros par an. Cela s'appelle l'apprentissage. Cependant cette filière est dévalorisée par nos dirigeants de goooche depuis des années. J'en un pur "produit" et cette filière alliant cours théoriques et pratiques sont pour moi le meilleur modèle de formation.
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En fait la mauvaise image de la programmation est persistante dans les pays occidentaux, ce qui explique des réflexions à la con du type "taper du code au km". Je ne crois pas que l'industrie du numérique et tous les conforts dont on bénéficie au quotidien puisse se faire sans codeurs.
L'apprentissage de la programmation au Vietnam :
http://neil.fraser.name/news/2013/03/16/
Dernière modification par LeGreg (27-03-2013 07:53:43)
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Le problème pour moi, avant même la méthodologie ou la qualité de l'enseignement, c'est déjà de vouloir former des codeurs en France. Franchement? Alors que déjà c'est un métier en voie de disparition vu que le code "pur et dur" sans valeur ajoute d'algorythmie, de math etc... Les indiens le font pour moins que le SMIC. Codeur c'est un métier qui n'a pas d'avenir en France. Ou alors il faut une autre compétence valorisante dont le code n'est que la conclusion.
Mais la vu la description des cours, Xavier Niel propose de former des futurs chômeur. Il y auras toujours un besoin en codeur avec faible compétence annexe, mais vu que toutes les entreprise de plus de 800 personnes passerons par WiPro, Tata ou les plateformes offshore de Cap et Accenture, la demande va être faible, donc pas besoin d'une école de plus.
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ça fait 10 ans que j'entends ça, le seul résultat visible que j'ai vu c'est des chefs de projets de plus en plus incompétent techniquement, dont parfois les connaissances relèves de la pensée magique " on va le faire en java, ça va aller plus vite ". Parce que l'externalisation ça demande de réelles compétences pour définir, maîtriser et contrôler le développement.
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Pourquoi des Mac ? Peut-être parce qu'on peut y programmer aussi bien sous Mac OS que sous Windows...
Ce qu'un PC ne permet pas.
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« Pourquoi des Mac ? Peut-être parce qu'on peut y programmer aussi bien sous Mac OS que sous Windows... Ce qu'un PC ne permet pas. »
En voilà un que je n'embaucherais pas, qui mélange système d'exploitation et machine. Sans compter qu'en une seule phrase, il arrive a faire percer ses lacunes...
Dernière modification par jdautz (27-03-2013 14:02:14)
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Un mac intel est un ordinateur compatible PC qui fait tourner OsX de base et Windows en double boot ou via une VM. L'inverse n'est pas réciproque parce que Apple a une vision très propriétaire de son OS qui est verrouillé. Du coup je ne vois pas où est l'erreur.
l'intérêt de OsX à part son interface playskool est d'être sur une base BSD et donc compatible avec la plupart des logiciels libres disponibles sur Linux.
Du coup effectivement depuis un mac on peut développer pour toutes les plateformes. Mais bon on en revient à la même question, quel est l'intérêt de dev pour mac ?
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Vous êtes gonflés à Libé de qualifier Epitech de star. C'est une boite à fric comme il en a toujours existé qui a un budget publicité destiné à passer un message. Avec vous, il est passé. Auprès des DRH, c'est beaucoup moins sûr.
Et puis, il faut arrêter de colporter cette idée de "genies" de l'informatique. C'est stupide. L'informatique recouvre un ensemble de technologies. Certains principes sont anciens et existaient bien avant que les progrès de l'électronique ne permettent de les mettre en oeuvre.
Penser que l'on va prendre des gens en échec scolaire et en faire des champions est d'une naïveté déconcertante. On en trouvera, c'est certain. Mais sur les mille, on aura surtout des gens qui auraient pu trouver leur place ailleurs. Alors, oui, proposer une autre voie de formation, c'est bien. Laisser croire qu'elle sera reconnue par les employeurs et que la reconnaissance par l'Etat du diplôme n'est pas nécessaire est tout bonnement un mensonge.
Revenons à l'informatique: n'importe qui, avec peut-être un peu de formation, est capable de faire quelque chose de simple, même si cela paraît extraordinaire et compliqué à certains. Bâtir un système complet, c'est autre chose et ça nécessite bien plus de connaissances, même si c'est parfois moins spectaculaire. J'ai une analogie: je suis parfaitement capable de construire un pont sur la Seine. Mais au plateau de Langres, pas en Normandie. Pour l'informatique, quoi qu'en pense beaucoup de gens, c'est pareil. Comme il en va de même dans toutes les technologies.
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Euh, le mot "star" n'est pas laudatif.
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Petit détail linguistique qui a son importance. Ce ne sont pas des geeks mais des nerds.
Autres détails, il est possible de faire une école d'ingénieur, sans forcément devoir débourser 5000 ou 8000 euros par an. Cela s'appelle l'apprentissage. Cependant cette filière est dévalorisée par nos dirigeants de goooche depuis des années. J'en un pur "produit" et cette filière alliant cours théoriques et pratiques sont pour moi le meilleur modèle de formation.
Il y a aussi des écoles d'ingénieurs publiques,aux frais de scolarité limités. Evidemment, dans celles là, le chèque parental ne garantit ni admission, ni diplôme (reconnu et régulièrement validé par la commission des titres, lui).
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