Vous n'êtes pas identifié(e).
Pages : 1
Edition 2009?: le fun au cul
Impressions, observations et conclusions après douze jours de projos.
Hors ligne
2 euros la carafe ? Faut être cruche.
Ah sinon, pitié :
"Il est ce qu’il reste..."
Non.
"Il est ce qui reste" est si correct. L'autre n'existe pas, n'a jamais existé... à moins qu'il n'arrive à s'imposer par la porte de l'hypercorrection. En attendant, tentons de résister un peu, surtout dans les rédactions.
Et dans l'ensemble, ça donne envie d'aller au ciné, tout ça. Ou de télécharger, c'est selon.
Hors ligne
Ce que dit l'Académie dans les q.-r. :
Ce qui reste ou ce qu’il reste ?
Avec les verbes susceptibles d’être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu’il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu’il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable. Ainsi : ce qui restait d’élèves… (Pagnol) ; ce qui lui reste de sainteté (Maurois) ; ce qu’il lui restait à faire (R. Rolland) ; ce qu’il vous reste à découvrir (Duhamel).
On peut donc écrire aussi bien : nous verrons ce qui se passera ou ce qu’il se passera.
(source : http://www.academie-francaise.fr/langue … qui_reste)
La vieille question à deux balles du « qu* », sujet de relative (forme personnelle) ou COD (forme impersonnelle), donc !
Réponse équivoque des petits hommes verts, mais l'usage est tolérant.
Dernière modification par g_marc (27-05-2009 08:21:52)
Hors ligne
Soit.
Je continuerai d'être choqué à part moi.
Rien n'est donc tranché, en effet.
Soyons tolérants.
Je crois que c'est l'abus de "ce qu'il", de "l'on" et de "cela", utilisés pour faire bien, littéraire et classieux à bon prix, qui me hérisse la rétine. Allez, OK, ouverture, tolérance...
Hors ligne
Pages : 1