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L?été en multivers #5 : Lone Ranger, plongée au coeur du malaise culturel hollywoodien
Ecrans.fr poursuit son exploration des univers abordés pas les blockbusters estivaux. Cette semaine on redécouvre un héros du passé qui pourrait bien retourner aux oubliettes, dans le cachot des franchises qui ne rapportent pas.
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Pas vraiment d'accord avec l'article.
A mon avis, l'echec de Lone Ranger est surtout du au fait que Gore Verbinsky a realise un film completement tare et bien loin des canons hollywoodiens.
Les rares parents qui ont emmene en toute confiance leurs bambins voir la derniere prod Disney ont du etre sacrement surpris par un spectacle aussi crado, fou et deviant. Rendez-vous compte, on y croise un mechant cannibale qui se repait du coeur du frere du heros, une bande de bad guys crades et fous, avec des trognes rappelant l'age d'or du western spaghetti. Le film evoque sans detour le massacre des indiens par l'homme blanc, tout ca pour des raisons pecuniaires, le heros est un loser qui refuse d'utiliser une arme et prefere la justice a la vengeance (on est loin du "all american hero" qu'on nous balance a chaque blockbuster), Johnny Depp incarne un indien a moitie fou suite a un traumatisme psychologique, qui passe son temps a nourrir un oiseau creve qu'il porte sur la tete.
Bref, ne cherchez pas plus loin, malgre le fait qu'il soit un des plus jouissifs blockbusters a avoir gagne les ecrans cette annee, Lone Ranger ne pouvait que faire un four monumental, tellement il est deviant et hors des canons habituels...
"Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses."
PSN ID: geouf
Blog: www.cinegeouf.com
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Pas vraiment d'accord avec l'article.
A mon avis, l'echec de Lone Ranger est surtout du au fait que Gore Verbinsky a realise un film completement tare et bien loin des canons hollywoodiens.Les rares parents qui ont emmene en toute confiance leurs bambins voir la derniere prod Disney ont du etre sacrement surpris par un spectacle aussi crado, fou et deviant. Rendez-vous compte, on y croise un mechant cannibale qui se repait du coeur du frere du heros, une bande de bad guys crades et fous, avec des trognes rappelant l'age d'or du western spaghetti. Le film evoque sans detour le massacre des indiens par l'homme blanc, tout ca pour des raisons pecuniaires, le heros est un loser qui refuse d'utiliser une arme et prefere la justice a la vengeance (on est loin du "all american hero" qu'on nous balance a chaque blockbuster), Johnny Depp incarne un indien a moitie fou suite a un traumatisme psychologique, qui passe son temps a nourrir un oiseau creve qu'il porte sur la tete.
Bref, ne cherchez pas plus loin, malgre le fait qu'il soit un des plus jouissifs blockbusters a avoir gagne les ecrans cette annee, Lone Ranger ne pouvait que faire un four monumental, tellement il est deviant et hors des canons habituels...
Tu m'as donné envie de voir le film avec ta critique.
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