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Kosciusko-Morizet, en équilibre sur la Toile
NKM installe un comité pour analyser et expliquer la neutralité du Web.
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Un petit florilege des articles de readwriteweb sur cettte meme actualité;
http://fr.readwriteweb.com/2010/02/22/n … y-par-nkm/
http://fr.readwriteweb.com/2010/02/25/a … eutrality/
http://fr.readwriteweb.com/2010/02/25/n … -document/
Sinon pourquoi ne pas avoir indiqué qu'ici comme aux états unis la neutralité du web ne s'applique qu'aux contenus légaux dont on ne sait pas comment les distinguer sans espionner profondément les connections.
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Sinon pourquoi ne pas avoir indiqué qu'ici comme aux états unis la neutralité du web ne s'applique qu'aux contenus légaux dont on ne sait pas comment les distinguer sans espionner profondément les connections.
Parceque justement le principe de la neutralité du web c'est de ne pas discriminer les contenu au niveau des FAI. Qu'il soit légal ou non ne regarde pas le FAI. Ca regarde l'hébergeur, ça regarde la police. Mais le FAI n'a pas à mettre son nez dans les paquets. Tout simplement.
De même que la poste ne va pas mettre son nez dans vos colissimo pour savoir si vous envoyer de la drogue ou pas. Reste le problème des douanes qui n'existant pas sur internet enlève tout moyen de contrôle.
Dernière modification par Egmorn (26-02-2010 09:12:56)
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Oui, le transporteur n'a pas à regarder à l'intérieur du colis ou des lettres. Par contre ne pas dire dans l'article que deux visions différentes de la neutralité du net existent sous ce même nom pose un soucis de compréhension.
Pour la quadrature du net, la neutralité implique que le transporteur soit neutre sur le contenus.
Pour le gouvernement français et aussi le gouvernent américain, cette neutralité doit être limité au contenus licite et implique alors de ce fait un espionnage de la par du transporteur bien qu'ils utilisent aussi le terme de neutralité du net.
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Suite chez readwriteweb,
http://fr.readwriteweb.com/2010/02/26/d … ulpa-fail/
Bon, il faut se rendre à l’évidence, je suis allé bien trop vite dans l’analyse du document fuité de l’ISOC (dont je persiste à penser qu’il est authentique). Mon interprétation, faite dans la précipitation à la suite de la découverte de ce que l’AFP présente comme un « avocat d’affaire » et qui s’avère être un partisan du DPI de longue date, et dans un climat de guerre contre les libertés numériques (Christine Albanel arrivant chez Orange, etc, etc), mon interprétation, donc, est pour le moins biaisée pour ne pas dire foireuse.
Résumons, que trouve-t-on dans ce document de travail de l’ISOC ? Une série de questions-réponses destinées à apporter un éclairage sur les politiques non pas de l’ISOC, mais des gouvernement comme le gouvernement Brown en Angleterre ou le gouvernement Australien (et potentiellement bien d’autres), qui envisagent l’installation de technologie de surveillance de la population comme le DPI.
A partir de là, les réponses apportées font peur : violation de la vie privée, dangers pour la sécurité du réseau et pour les postes des utilisateurs qui y sont connectés, nuisances diverses et efficacité très relative pour ce qui est de freiner les atteintes au copyright. Nul par n’apparait que cette politique est prônée par l’ISOC. Il est par ailleurs difficile de reprocher à l’ISOC de ne pas le mentionner explicitement dans la mesure où justement, ce document est interne et n’est pas destiné à faire acte de communication.
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