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#1 08-02-2008 15:26:59

Ecrans.fr
Administrateur
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Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Téléphonie, web, publicité : l'industrie musicale commence à évoluer et revoit ses perspectives. Tour d'horizon.

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#2 08-02-2008 16:57:01

Kiforever
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Messages : 147

Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Article très complet ...

Taxe sur les supports numériques ;
Taxe sur les fournisseurs internets ;
Taxe sur les abonnements internets ...

C'est fou comme l'une des industries les plus libérales du XXème siècle (pas d'erreur) devient terriblement protectionniste quand sa survie est en jeu ...

Bah , je suis pas inquiet :
Leur combat est d'arrière garde , et le vrai problème pour la génération téléchargeurs n'est pas une énième loi de type Dadvsi , mais de trouver des idées de téléchargement ! Même sur les sites d'offre légale , la pauvreté de l'offre est à pleurer ...

Le Petit Nicolas (mais en Plus Grand)
http://www.grandnicolas.com

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#3 08-02-2008 22:05:12

bourgpat
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Messages : 241

Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

C’est la formule magique sur laquelle mise la profession pour faire enfin rimer musique numérique avec de très conséquents revenus. Différentes offres de musique par abonnement proposés par des fournisseurs d’accès à l’Internet (Neuf, Alice) et des opérateurs mobiles (SFR)ont commencé à apparaître en 2007, avec un certain succès. Elles permettent, moyennement un forfait mensuel inclus dans l’abonnement — 4,95 euros par mois chez Neuf — l’écoute et le téléchargement illimité de musique en toute légalité.

Selon les calculs auxquels se livraient les professionnels dans les allées du Midem, un service de musique illimitée souscrite pour 6 euros de plus par mois par les 14 millions de foyers français abonnés au haut débit dans le cadre de leur abonnement à un FAI représenterait une manne de plus de un milliard d’euros par an ! Bien plus que les 713 millions d’euros de chiffre d’affaires qu’ont rapporté les ventes physiques et numériques en 2007 et pas si loin du pic de 1,3 milliard d’euros de recettes dégagés l’industrie du disque à son apogée, en 2002.

Largement préférées par la profession au modèle plus aléatoire de financement par la publicité, ces « mini-licences globales » commercialisées via les nouveaux « fournisseurs d’accès à la musique » que sont les FAI et les opérateurs mobiles restent encore trop limitées en termes de variété des catalogues. L’offre de Neuf et de SFR ne concerne que le répertoire d’Universal, celle de Alice est circonscrite aux artistes d’EMI, etc. D’où le danger également de morcellement de l’offre musicale éparpillée en une kyrielle de services à la recherche du deal exclusif pour se démarquer de la concurrence. Madonna chez Orange et Radiohead chez Free ?

c'est fous cela une licence globale rapportant autant que la meilleur année du secteur depuis 50 ans. Par contre pour garder des abonnées, il faux travailler plus pour gagner plus. Créer toujours une nouveauté intéressante pour le consommateur et on est loin des choix de cette industrie qui choisie de s'enterrer dans ses catalogues et de ne pas investir dans la création depuis des années.

Quand on voit qu'ils sont en train de militer pour obtenir le passage de 50 ans à 70 ans avant le passage dans le domaine public.

Reste la dernière idée à la con de la RIAA, le spyware pour tout le monde comme si les problèmes de sécurité autour des rootkit sony n'avait pas servit d'avertisseur suffisement puissant pour le secteur. Encore qu'avec vista, on n'a plus un OS mais un malware gourmand en resourses systèmes.

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#4 09-02-2008 10:37:55

KlaxonsFive
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Comme bien souvent, voici un catalogue (non exhaustif) des pistes envisagées par "l'industrie musicale" pour tenter de sortir du prétendu marasme actuel.
Ce qui est ennuyeux, c'est l'angle de vue, celui des industriels (quel désastre, le marché est en baisse, c'est le téléchargement, tout ça....) et jamais ou quasiment jamais celui des artistes,lesquels sont pourtant le nerf de la guerre.
Un exemple? A qui profitent les offres d'abonnement pour écoute et/ou téléchargement illimité(e) initiées récemment par Universal/Neuf Télécom et EMI/Alice?
L'utilisateur? Il est sans doute flatté par une approche enfin compréhensive de son mode de consommation dans lequel la gratuité est souvent la règle.
L' industrie elle même? Il est évident que la possibilité de toucher aussi facilement la large clientèle des offres multiplay développées par les opérateurs est très alléchante, surtout si l'opérateur verse une grosse prime pour l'obtention du catalogue agrémentée d'un pourcentage sur les abonnements.
L'opérateur FAI? Quelle aubaine! Il semble participer au sauvetage d'un secteur culturel sinistré, enrichit son offre et trouve la parade à toute accusation visant à le considérer comme complice du téléchargement illégal...
Et l'artiste? Lui a-t-on demandé son avis sur la question? Son contrat stipule t il que ses oeuvres puissent être louées (c'est bien de celà qu'il s'agit...)de cette manière? Quelle est sa rémunération dans ce mode de consommation? Une oeuvre téléchargée perçoit elle une redevance une seule et unique fois ou cette perception se renouvelle t elle mensuellement, en fonction de la durée de conservation du fichier son par l'utilisateur?  La question est cruciale car c'est un modèle dans lequel l'oeuvre n'a plus de valeur fixe (contrairement au mode de téléchargement permanent, type iTunes...) mais variable, notemment en fonction du nombre total de téléchargements sur le service. C'est une mutation importante, déjà sur le plan symbolique mais aussi d'un point de vue économique: comme il semble qu'il soit quasi impossible de connaître la destinée d'un titre téléchargé parmi des centaines de milliers d'autres (combien de fois sera t il écouté, combien de temps sera t il conservé, à quel moment l'utilisateur s'en débarasse t il ? etc....),il est fort probable que l'oeuvre ne perçoive qu'une seule et unique fois, lors de son téléchargement initial: au total, l'artiste percevra une redevance infinitésimale tandis que les majors continueront à percevoir mensuellement, au gré de ce qu'elles livrent aux opérateurs.
En résumé, les maisons de disques espèrent retrouver les chiffres magiques des années 80/90 (le fameux "plus d'un milliard d'euros"par an) grace à un modèle dans lequel l'artiste et son producteur (s'il s'agit de licence) sont ultra perdants.
Chez ces derniers la surprise risque être extrêmement désagréable, à l'ouverture de l'enveloppe  contenant les premières redevances sur ce type de commercialisation.
Bien entendu, il existe un argument massue pour justifier cet habile tour de passe passe consistant à dire qu' au moins il y a revenu (même si minime) et dans le même temps création de visibilité...
Le problème est que ce type d'offre entre en concurrence frontale avec le téléchargement permanent légal, lequel avait déjà beaucoup de mal à prendre son envol, c'est à dire que ces deux majors tout en se tirant une balle dans un pied     exécutent d'un seul coup d'un seul les espoirs qu'il restait aux artistes de se refaire une petite santé financière grâce au téléchargement permanent.
C'est assez mal jouer dans le fond car les artistes (les plus vendeurs particulièrement) ont tout intêret à éviter de telles perspectives et rompre les liens avec les majorts bradeuses.

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#5 09-02-2008 12:05:25

A_
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Dans votre analyse vous oubliez le complice sans qui rien ne serait possible, la caution morale : la sacem, qui ne défend elle que les auteurs et pas les interprètes.

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#6 09-02-2008 16:37:02

bourgpat
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

KlaxonsFive a écrit :

Le problème est que ce type d'offre entre en concurrence frontale avec le téléchargement permanent légal, lequel avait déjà beaucoup de mal à prendre son envol, c'est à dire que ces deux majors tout en se tirant une balle dans un pied     exécutent d'un seul coup d'un seul les espoirs qu'il restait aux artistes de se refaire une petite santé financière grâce au téléchargement permanent.
C'est assez mal jouer dans le fond car les artistes (les plus vendeurs particulièrement) ont tout intêret à éviter de telles perspectives et rompre les liens avec les majorts bradeuses.

un petit rappel, ce que vous appelez "téléchargement légal permanent" est un accord de licence dans lequel l'acheteur ne possède rien. (regardez les termes du contrat d'itune pour exemple signé par simple lecture du fichier musical sans même avoir été  présenté à l'acheteur qui peut être mineur).

Un cd est un support matériel qui peut allègrement durer 20 ans. Combien de temps dure un MP3 encodé avec les pieds et vendus sur ces fameuses plateformes avant que l'on propose de le repayer pour quelques Kbs de plus ou sans DRM.

Alors que les artistes demandent que les droits, actuellement de 50 ans sur les enregistrements, passent à 70 ans voire plus aucune plateformes ne propose de support digne de ce nom pour les pauvres pecnots qui ont achetés des morceaux sur vinyles puis les ont renouvelés sur cd et devraient les racheter à chaque modifications infinitésimales de format. Car si conserver des données informatiques quelques années est simple; les faire durer 20 ans ou plus nécessite de raisonner comme des banques ou des administrations centrales (multiples sauvegardes sur des supports différents et dissémination des sauvegardes sur plusieurs sites) ou d'avoir à faire à un support digne de se nom.

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#7 09-02-2008 19:28:53

KlaxonsFive
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Comme pour une oeuvre photographique, les droits ne dépendent pas du support, papier, vinyl, plastique ou numérique et de leur résistance au temps(je peux écouter actuellement les Beatles sur un support qui n'existait pas à leur époque).
On peut comprendre qu'un artiste milite pour une durée plus importante de ses droits, surtout si sensibilisé par une inexorable baisse de revenus engendrée par les business models des réseaux de distribution numérique.

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#8 09-02-2008 20:32:01

bourgpat
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Et lors d'une vente il y a changement de propriétaire sur le produit vendus.

Or au niveau du numérique, l'acheteur n'est jamais propriétaire de l'œuvre, il n'est pas aussi propriétaire d'un support mais d'un droit d'accès à l'œuvre. Il est donc pas inintéressant de traiter la durée du support car elle est indépendante d'un quelconques support (cd, disque dur, cassette, .......... cylindre de cire).

Quant à l'augmentation de la durée des droits c'est travailler moins pour gagner plus et dire qu'on tape sur les fonctionnaire en les traitant de faignants.

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#9 10-02-2008 11:52:16

KlaxonsFive
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Lorsque vous achetez un CD, DVD, livre, photos etc...vous ne devenez le propriétaire que d'un support de reproduction, quelqu'en soit la nature et avez la jouissance de la charge symbolique rattachée à l'oeuvre mais cette dernière reste propriété de son/ses auteur(s).
Si, en tant qu'utilisateur/amateur/client, lors de votre achat vous avez (jusqu'à présent) également acquis le droit d'en faire des copies privées dans le milieu familial, vous n'avez pas pour autant mis la main sur les autres droits rattachés à cette oeuvre.
Les droits d'exploitation (reproduction, commercialisation...) restent la propriété du producteur/distributeur/maison d'édition qui les a signés pour une durée contractuelle contre engagement financier, généralement sous forme d'avances et redevances.
Les droits d'auteur et compositeur restent eux acquis aux auteurs/compositeurs et éventuellement une maison d'édition.
Maintenant, d'autres modèles sont imaginés dans lesquels l'artiste renonce à ce type de propriété intellectuelle pour mettre à la disposition du public une oeuvre qui pourra être modifiée à l'infini au cours de sa circulation etc....
Cette pratique existe sans doute de manière marginale mais sa généralisation n'est pas à l'ordre du jour, à en juger par exemple par l'amende de 4500€ infligée à une jeune asiatique qui avait déposé la rouge empreinte d'un baiser sur une toile du peintre avant gardiste Cy Twombly dont elle est (était?) fan. L'intention était de déposer une marque de son amour par une tendre modification de l'oeuvre.  L'artiste a apprécié différemment et a fait valoir....ses droits.

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#10 10-02-2008 12:20:07

bourgpat
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Lorsque l'on achète en numérique, on  n'achète que des droits et c'est biens la où se situe la révolution qui devra un jour bénéficier à l'acheteur aussi. Car pour l'instant continuer à arnaquer les acheteurs et croire qu'un marcher peut se développer est une utopie qui est morte depuis 20 ans déjà.

Un petit rappel sur le contrat de licence itune même si il a évolué.

http://www.droit-ntic.com/news/afficher.php?id=344

et une petite histoire.

http://www.scottmccloud.com/comics/icst … -full.html

edit liens.

Dernière modification par bourgpat (10-02-2008 13:02:25)

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#11 10-02-2008 16:41:06

KlaxonsFive
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Merci pour ce lien mais le raisonnement qui y est exposé repose en partie sur un postulat erroné. Par exemple, il y est dit "... dans l'ancien temps, ce disque, il devait être produit. C'est finalement lui qui octroyait à la musique la rareté nécessaire à sa valeur. Dans l'ère numérique, cette production n'a plus rien de rare, produire c'est dupliquer et dupliquer ne vaut rien" ce qui procède d'une confusion entre l'acte de production et celui de reproduction.
Il est exact que la duplication de musique dématérialisée ne vaut rien, comparativement au coût des usines nécessaires à la duplication et conditionnement des supports disques (vinyls et/ou CD...) mais ce n'est pas ça, la production...
Si la numérisation des sons a pu changer les outils de production, transformer la technologie des studios d'enregistrement et démocratiser quelque peu l'accès aux outils de production (logiciels d'enregistrement/mixage), cette étape de fixation a tout de même un coût (licences des logiciels, salaires de techniciens, musiciens, locations de studios etc...). Même dans nos "nouveaux temps", produire a un coût.
Après, ce qui concerne la valeur marchande apposée sur la reproduction de l'oeuvre, imposée par le détenteur des droits et acceptée plus ou moins par le public constitue un vaste sujet assez intéressant car traversé par des conceptions très conflictuelles entre les partisans d'une valeur inversement proportionnelle au nombre de copies en circulation et les défenseurs d' une valeur d'autant plus forte que la demande est importante (tarif "top artist"). Alors un CD de "Thriller", vendu à 35 millions d'exemplaires doit il coûter plus ou moins que le dernier album de Tom Poisson, artiste repéré par la critique mais au succès public confidentiel?
Une chose certaine: le succès planétaire de "Thriller" a conféré à l'oeuvre elle même une valeur aux plus hauts sommets tandis que l'oeuvre de Tom Poisson, pour le moment n'a qu'une valeur très relative, sauf pour l'artiste lui même et ses soutiens, bien sûr. 
Depuis la rédaction de cet article, beaucoup de choses ont évolué, il me semble: la loi DAVSI s'est révélée inapplicable et tout le monde a l'air de vouloir faire sauter les DRM, y compris Apple...sans trop savoir ce que cela va donner.
Pour en revenir aux débuts de la discussion, cette ère de tests au cours de laquelle on voit les maisons de disques se lancer dans des expérimentations souvent contadictoires (imposer des DRM sur les fichiers dématérialisés et distribuer dans le même temps des supports physiques non protégés; proposer du téléchargement illimité -gratuit dans certains cas- tout en investissant massivement pour essayer de développer le téléchargement à un prix "classiquement normal"...), cette ère de tests, donc, crée beaucoup de confusion.

Quant au contrat de licence d'iTunes, ce n'est pas très différent des limitations d'usage imprimées sur les CD et leurs pochettes, pour ne pas dire que c'est exactement pareil.

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#12 14-02-2008 12:42:21

bourgpat
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Re : Musique : L'ère de l'après-CD a commencé

Le dématerailisé permet de s'affranchir d'un certain nombre de contraintes qui constituaient des perte de chance au niveau de la vente. Le nombre de copie n'est pas fixé ce qui permet de l'adapter au nombre d'acheteur sans produire trop et se retrouver avec des stocks à détruire ou pas assez et ne pas republier car les ventes espérées sont pas assez rentables.

De plus, il permet en partie de s'affranchir des défauts de la distribution physique. Les copies peuvent ne pas être la où se trouvent les acheteurs, et les problèmes d'exposition entre les têtes de gondoles bien visible et les bacs dans le fond du magasin lorsque l'on sait ce que l'on va acheter. Car trouver un disque peut être un vrais parcours du combattant au niveau de la distribution physique et si l'acheteur se trouve à 150 km de l'endroit où il reste une copie il ne se déplacera pas sans être certain de l'avoir.

Après pour parler du droit des contacts c'est amusant mais normalement çà nécessite une validation par deux intermédiaires, un contact peut être annulé si la personnes rédigeant le contact ne fait pas les efforts nécessaires pour donner une information loyale et honnête; il existe des personnes qui sont protégées (personnes âgées et mineurs). Un contact est en deçà de la loi et ne permet pas de s'en affranchir.

Donc un contact validé sans que la personnes n'ait eut connaissance des termes en pouvant être mineur; çà n'a de la valeur que pour le couillon qui se crois protégè par ces termes. Cas amusant d'un médecin qui avait fait signé un contact de soin par un patient étranger qui ne parlait pas un mots de français et qui a été condamné. Un contact ce n'est pas n'importe quoi et les conditions sont aussi importante que le contact dans sa validation par une autorité judiciaire qui peut l'invalider et condamner alors le contractant.

Sinon désolé pour cette réponse tardive mais je me promène et ne pirate pas encore les accès internet en fonction des lieux ou je loge.

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