Paramonia a écrit :Sinon, j'avoue suivre les indications de difficulté quand il y'en a.
Tu aurais quelques exemples en tête ? J'en ai jamais vu moi. Il y a parfois des détails sur le niveau de difficulté proposée, mais jamais de recommandation du studio.
De mémoire, il me semble que Deus Ex Human Revolution accompagne le niveau de difficulté d'un texte qui indique ce que le joueur doit en attendre. Pour la recommandation pure et dure je crois que Halo Reach était le plus explicite (littéralement "c'est comme ça que le jeu doit se jouer"). Dans Bioshock ils conseillaient le joueur en fonction de son expérience dans les FPS. En gros de "c'est la première que vous jouez à un FPS" à "Vous avez terminé de nombreux jeux en vue subjective".
Paramonia a écrit :et démarrer un nouveau systématiquement en mode normal quand il n'y en a pas, en me disant que c'est ainsi que les développeurs l'ont pensé.
ce qui n'est pas toujours le cas, non ?
Non c'est vrai. Ben je me faisais la réflexion pour Dishonored, le niveau de difficulté n'est - je pense - pas là uniquement pour proposer du challenge supplémentaire mais pour pousser vers une diversification du gameplay, une utilisation optimale du level design et pourquoi pas plus d'exploration. En plus, comme les développeurs ont prévu Dishonored en 2 runs (un avec Corvo, un avec Emily), ça rend la chose encore plus dure à gérer.
J'aime bien que la difficulté me soit imposée en fait, ça permet d'en faire un élément à part entière.
J'ai des mauvais souvenirs des Gears Of War aussi, avec un premier jeu qui est déjà plutôt hardcore en mode normal et un 2 et un 3 que j'avais fait en normal en pensant renouveler le même type d'expérience, mais qui étaient en fait beaucoup facile. Je pense qu'on peut déjà militer pour plus d'harmonie à ce niveau là dans une même licence !
Ah oui puis je me souviens avoir fait Max Payne 3 en difficile mais avec la petite aide "autolock" du gun en medium parce que je trouvais que les mouvements de Max étaient plus cools, et que ça améliorait la mise en scène d'avoir un mec qui n'ajuste pas son tir en permanence.
]]>Sinon, j'avoue suivre les indications de difficulté quand il y'en a.
Tu aurais quelques exemples en tête ? J'en ai jamais vu moi. Il y a parfois des détails sur le niveau de difficulté proposée, mais jamais de recommandation du studio.
et démarrer un nouveau systématiquement en mode normal quand il n'y en a pas, en me disant que c'est ainsi que les développeurs l'ont pensé.
ce qui n'est pas toujours le cas, non ?
]]>Sinon, j'avoue suivre les indications de difficulté quand il y'en a, et démarrer un nouveau systématiquement en mode normal quand il n'y en a pas, en me disant que c'est ainsi que les développeurs l'ont pensé.
]]>En regardant Dishonored 2, j'en viens à regretter que les jeux n'indiquent pas dès le début (et de façon plus claire) la difficulté recommandée par les créateurs.
Ce choix influe tellement sur l'expérience de certains jeux.Pourquoi ne pas mettre en gros dans le menu de difficulté ce que les développeur préféreraient, et en petit les alternatives ?
C'est tyranny qui m'a donné le même effet il y a deux semaine.
en allant sur le forum officiel , les devs conseil pour jouer dans la meilleure expérience possible de jouer en difficile en mode 1 sauvegarde pour qu'on soit obligé de regretter nos choix fait 1 heure plus tot.
Il y a quelque jours j'ai joué a la campagne de titan fall 2 et la difficulté de jeu était assez bien exposé.
préférez vous suivre une histoire ou jouez le jeux ? le 1 rendant le jeu plus simple (retirant des ennemis) / 2 nombre normal d'ennemi
Et ensuite un deuxieme niveau de difficulté vient se greffer sur notre niveau d'expérience au tir avec 3 niveau : je tire comme un manche pour une IA au fraise, je pense avoir une aim correcte pour une IA correcte définit comme normal et 3 l'ia pete une durite et enchaine les HS.
Et la on sait clairement que pour avoir une expérience normal définit par les dev c'est 2 et 2 .
]]>Pourquoi ne pas mettre en gros dans le menu de difficulté ce que les développeur préféreraient, et en petit les alternatives ?
]]>Le système de Skyrim est franchement bien adapté, c'est à peu près ce que décrit poifpoif avec en plus un plafond pour certains monstres (tous en fait, avant que les DLC/mods ne soient pris en compte) qui signifie qu'au niveau 50, on démontera même les meilleurs bandits (qui montent seulement jusqu'à au niveau ~30) parce que, merde, on est niveau 50 quoi (par contre on pourra toujours galérer contre certains dragons ou daedras). Le souci c'est que TES étant TES, des joueurs finissent immanquablement à arriver à un niveau où ils tuent des géants en éternuant ce qui peut frustrer le joueur avec pure optique grosbill (mais y'a plein de mods qui résolvent ce problème).
Disons que contrairement aux Final Fantasy par exemple, les RPG occidentaux n'ont pas particulièrement la culture du boss bonus largement plus balaise que le boss final, qui est tout de même la principale raison de continuer à jouer après la fin (hormis le Blitzball bien sûr) et qui rajoute souvent beaucoup de difficulté. Depuis Final Fantasy X, on a même souvent plus d'une dizaine de streums qui sont largement plus difficiles à tuer que le boss final (avant ça, y'en avait en général 1 ou 2), mais ils sont BEAUCOUP plus difficiles à tuer que le boss final, et se préparer correctement pour les affronter peut prendre un temps monstrueux tout en requérant une connaissance avancée des systèmes de jeu.
]]>Personnellement je me contrefous de commencer lvl 1 a Witcher 3. Nous sommes des joueurs, tant qu'il y aura des chiffres affiches sur l'écran, on pourra toujours accuser les développeurs de RPG de manquer de coherence. Les "problèmes" de logique que vous évoquez sont insolubles, il y en a partout dans les jeux videos, et pas que... Est-ce logique de voir les meme gueules d'acteurs connus dans tous les films? On s'y est habitue, meme si c'est complètement debile et que ca gâche l'immersion des la premier scene. Je pense que la meilleure manière de jouer a The Witcher, Mass Effet ou a Dragon Age, c'est de se lancer sans réfléchir et kiffer simplement, en suivant le chemin trace par les games designers le plus talentueux de notre temps.
En essayant de les faire chier avec ces questions, c'est votre propre experience que vous galvaudez.
Un bandit quelconque qui dézingue un sorceleur surentraîné, c'est une erreur de game design. Ça m'a fait tiquer, ça rompt l'immersion, et m'a immédiatement fait sortir du jeu. J'en fait pas une thèse mais un constat spontané.
J'aime bien cette idée d'auto-leveling limité. Genre un streum commun aura forcément un niveau qui évolue en fonction du niveau de joueur, et qui fluctuera, par exemple, entre -5/+5 par rapport au niveau du joueur.
]]>Mais si je regarde mes jeux préférés ever il n'y a jamais de niveau de difficulté, c'est moi qui doit m'adapter à la vision des auteurs. J'en arrive même à penser que c'est un peu un aveux de faiblesse, c'est comme un écrivain qui livrerait plusieurs version de son livre en fonction du lecteur. Absurde.
]]>Par contre en mode hardcore (marche de la mort), les combats contre créatures de niveaux proches sont une vraie réussite. Un vrai défi qui oblige l'utilisation des bombes, potions, et une chorégraphie maîtrisée, parades, esquives... Les combats contre les boss peuvent durer des dizaines de minutes. Intense. Les erreurs ne pardonnent pas.
]]>Pour reprendre l'exemple de Mass Effect, Shepard dans le 2 est rebooté (donc pas besoin d'améliorer les ennemis par rapport au 1), mais dans le 2 ses ennemis sont surtout des mercenaires avec parfois des rencontres contre des geth ou des troupes d'élite (récolteurs), par contre dans le 3 il se bat uniquement contre Cerberus (génétiquement modifiés avec des bouts de Moissonneurs, donc plus forts que les mercs du 2), des Geth (...informatiquement modifiés par les Moissonneurs, donc plus balèzes que les geth d'avant), des troupes des Moissonneurs elles-mêmes (qui sont les versions upgradées des races de la galaxie - Humain, Turien, Krogan, Asari, Rachni), et dans un DLC contre une le pendant maléfique des gros badass N7 de l'Alliance (les CAT6).
La difficulté n'évolue pas particulièrement, mais cette fois Shepard se fritte contre des ennemis plus forts, donc l'évolution entre les jeux est prise en compte. Si dans Witcher 3 le même bandit lambda que dans le 1 demeure un problème alors que Gerolt est censé avoir déjà vécu deux aventures périlleuses, y'a quelque chose qui cloche.
]]>Premièrement il y a un QCM durant le jeu qui permet de revalider les choix fait lors du 1 et du 2.
Créant de sacré différence dans l'histoire, exemple Leto je l'ai sauvé, et dans le 3 il y a une quete de secondaire avec lui du coup. et il aide a un moment clé du scénar.
Secondo, Geralt démarre avec plus de compétence que dans le 2 et surtout que dans le 1.
Dans le 1 il fallait tout débloquer comme les signes, les skills et les mutagènes.
Dans le 2 les mutagènes et les popo demandaient des études sérieuses, ici tu démarre avec une liste de popo de base et tu peut t'équiper facilement des mutagènes.
Ok après on redémarre niveau 1 mais bon , il y a quand même une évolution dans le personnage.
]]>