Le problème est que le passage cité est détaché du reste et notamment de la tonalité générale de l'article. Sans aller jusqu'à commenter le message d'élie, dont l'analyse grammaticale, effectivement de niveau CM1, fait l'économie d'une argumentation même minimale pouvant étayer les insultes adressées à d'autres commentateurs, je me demande quand même, si l'article est ironique, qui est visé par cette ironie.

Je n'ai pas lu -ni vu, ni entendu - l'ensemble des commentaires suscités par cette affaire dans les médias ou dans la classe politique française, mais pour ceux dont j'ai pris connaissance je ne vois pas en quoi ils pourraient être visés par cet article. Bien au contraire, il me semble que, depuis maintenant plusieurs jours, on répète assez largement que c'était seulement l'un de ses nombreux portables que D.S.K. avait oublié dans cet hôtel, ce qui ne constitue pas particulièrement un élément à charge, au contraire.

Mais peut-être qu'effectivement cet article vise-t-il simplement tous les piliers de comptoir censés s'être saisi de cette anecdote pour en inférer de la culpabilité de l'ex-directeur du FMI ; mais je ne vois pas où ils sont, ne les ayant ni vus ni entendus. M. Marcelle devrait peut-être changer de bistrot.