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Rapport Lescure: la Quadrature du Net lâche ses coms
La Quadrature du Net a lancé un outil collaboratif pour commenter et prolonger le rapport sur l'«Acte II de l?exception culturelle », alors que Pierre Lescure a estimé sur France 5 que l'association prend trop de place dans le débat.
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Reformulation d’1 vieille idée (Juin 2009) :
Pourquoi diable ne peut-on facturer aussi facilement le Peer to Peer que la téléphonie ?
Il s’agit pourtant bien de la même chose, non ?
Un émetteur, un récepteur, un flux de données numériques entre les deux à facturer. A qualifier d’abord puis à facturer en fonction de critères issus de la qualification.
A ma connaissance, ils ont mis en place pour la téléphonie un système qui fonctionne plutôt bien et ce, sans possibilité de fraude (pas de possibilité de firewall ou que sais-je ? qui permette de masquer l’émetteur ou le récepteur).
Il serait pourtant foutrement intéressant également dans ce domaine, en masquant ses coordonnées, de n’avoir rien à payer.
Pourtant personne n’a réussi ce tour de passe-passe, à ma connaissance.
Est-ce que qq1 pourrait enfin m’expliquer en quoi mon analogie ne tient pas la route ?
(dans ma 1ère formulation, technique, personne n’a jamais réussi à ou pris la peine de me convaincre que c’était une fausse piste).
A vous lire.
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Pourquoi voudriez vous qu'une infrastructure de piratage (ceux qui s'en occupe) envoie des données de facturation à qui que ce soit ?
Par ailleurs le "peer2peer"(les protocoles associés) sont utilisés dans des infrastructures d'offre légale (akamai par exemple, ce qu'il y a derrière itunes, ou netflix je crois).
Et que voulez vous facturer, les giga bytes téléchargés ?
Cela ne suffit pas à identifier les œuvres correspondantes, c'est d'ailleurs pour cette raison que le concept de licence globale est une profonde niaiserie.
Pour la mesure et la redistribution, c'est soit :
a) mesures d’audience et de consultations précises : approche nécessairement la plus Orwellienne possible (pour éviter les consultations simulées par exemple)
ou b) revenus des taxes redistribués sous forme de « subventions à la création », c’est à dire mise en place du ministère omnipotent de la culture gardien du bien et du bon goût.
Sans parler de praticité de la mise en place.
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