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Citer autant de poètes, et ne savoir lire qu'au premier degré...
Effectivement, mea maxima culpa, en lisant le mot "Libération" j'ai été enduit d'erreur...
TheLord a écrit :Pardon ?!?
Didier Barbelivien écrit de "magnifiques chansons" ?
Il faudrait louer sa prosodie (collégienne), sa métrique (digne d'un Hugo prépubère - quoiqu'après ce ne soit mieux...) ?
Les références de l'auteur de l'article me semblent assez limitées.
Qu'il lise du Rimbaud, du Baudelaire, du Keats ou du Shakespeare (voire du Blake s'il a une once d'honnêteté).
Qu'il écoute Brel, Ferrat, Bénabar, Saez, Jonasz, Manset - et j'en passe ! - avant de parler de prosodie.Barbelivien est à l'écriture, ce que Goldman est à l'humilité (heureusement pour lui, il n'est pas le même hors champ).
Cher TheLord,
On a failli y croire, à votre emportement, mais Bénabar et Saez, c'était trop. Bien essayé.
RG et IR
Renseignements Généraux et InfraRouge ?
Bénabar, et Saez sont certes moins 'efficaces' que les autres, mais plus dignes d'intérêt que le sus-nommé. Je le maintiens, citer Barbelivien est un crime de lèse-art... au soleil.
Si la nature nous a donné deux oreilles et une seule bouche, c'est pour moins parler, et mieux entendre. Plutarque.
Pardon ?!?
Didier Barbelivien écrit de "magnifiques chansons" ?
Il faudrait louer sa prosodie (collégienne), sa métrique (digne d'un Hugo prépubère - quoiqu'après ce ne soit mieux...) ?
Les références de l'auteur de l'article me semblent assez limitées.
Qu'il lise du Rimbaud, du Baudelaire, du Keats ou du Shakespeare (voire du Blake s'il a une once d'honnêteté).
Qu'il écoute Brel, Ferrat, Bénabar, Saez, Jonasz, Manset - et j'en passe ! - avant de parler de prosodie.
Barbelivien est à l'écriture, ce que Goldman est à l'humilité (heureusement pour lui, il n'est pas le même hors champ).
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