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J'aime bien comment débute l'article (Hadoken !). Et sans honte j'ai débloqué tous les persos du jeu en optant pour un seul round dans le mode le plus facile. Et pour le côté élitiste de SFIV, je ne suis pas tout à fait d'accord. Il l'est moins qu'un SFIII3rd strike ou qu'un KOF par exemple. En gros, il est tout à fait abordable pour un non expert du jeu de combat 2D tout en proposant un gameplay technique pour les pros du pianotage, des combos et du mind game. D'ailleurs, a-t-on une chance de croiser l'auteur de l'article pour un combat sur le live ? ;-)
Erwan,
Au temps pour moi alors, mais comme votre article porte sur le fait que le ton des comics contemporains est plus sombre et plus noire qu'avant, je l'avais donc compris dans ce sens-là.
"Dans Marvel Zombies, par exemple, Kirkman met en scène un Spider-Man mort vivant qui regrette amèrement d’avoir dévoré Tante May et Mary Jane."
Waouh, c'est vachement adulte et sombre ça, un super héros masqué zombifié...
iserge,
Le fait que ce soit une "technologie complètement obsolète" n'enlève en rien l'attrait du Polaroïd par rapport à la photographie numérique.
Le Polaroïd, c'est avant tout un plaisir et un rendu inimitable et contrairement à la photo numérique, on obtient l'image et son support physique en même temps (en voyage, c'est tout de même autre chose de donner un pola que de montrer la photo sur un écran de 2, 3 pouces sur un APN). De plus, attendre que l'image apparaisse est magique (tous ceux qui ont pratiqué le noir et blanc argentique et qui ont vu l'image "monter" dans le révélateur savent de quoi je parle). C'est de mauvaise qualité ? Et alors ? Je préfère le rendu Polaroïd aux images numériques que j'obtiens avec mon Canon 5D (que j'utilise pour le boulot, mais en dehors, je préfère utiliser mes boîtiers argentiques). Cela vieillit mal ? Comme toute chose, rien n'est pérenne. Bref, tout cela fait partie de l'identité du Polaroïd et en fait son grand charme.
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