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Drame de métro
Remake d?un film de 1974, une prise d?otages souterraine signée Tony Scott avec un Travolta survolté en contre-héros diabolique.
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Si le but avoué de cet article était d'encenser ce film -ou du moins pousser le lecteur lambda à aller le voir- le minimum aurait d'écrire correctement. Entre phrases sans queue ni tête, néologismes, parenthèses, guillemets un peu partout ça donne la nausée. On dirait du JD Beauvallet monté par Jean-Marie Poiré.
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j'ai tenu 3 paragraphes... quel style insupportable :s
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Même réaction: cette langue m'a épuisé, et ce dans le mauvais sens du terme.
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Ce héros méphistophélique, le nôtre, est l’un des tout meilleurs acteurs vivants, sinon leur maître à tous, acteur rêvé des Cenci revus Artaud, John Travolta. Pas le Travolta « Elvis Chakiris » des musicals amuse-gueule Saturday Night Fever ou Grease, certes parfaits dans leur genre ; le Travolta inouï d’après, de la vie après la vie, de la psychiatrie (dépression) et de la scientologie salvifique, celui de la transfiguration, disons à partir de l’archange Michael bâfreur de corn-flakes et affronteur de taureaux, ou de Broken Arrow ; le Travolta bullshit souverain de Basic ou autres Battlefield Earth. On s’inquiétait de lui, notoirement affecté cette année par la mort d’un fils déficient ; inquiétude superflue, il est là immuablement, magnétique, pris en bloc aérien.
On m'a appris en Français qu'une bonne phrase est une phrase courte. Pour éviter de lasser le lecteur, mais surtout pour ne pas mélanger trop d'idée ou de concept dans une seul phrase.
La nous avons un seul paragraphe et une seul phrase!!! Qui plus est pour ne rien dire! Car la phrase peut être résumé en: Le héros est joué par Travolta au mieux de sa forme (11 mots) sans aucune perte de sens ou d'intérêt
Franchement il faut arrêter de fumer la moquette et se rendre compte que style de qualité ne signifie pas pédanterie
Que la lourdeur ne rend pas plus intelligent
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