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Jonze, le maxi môme
Une adaptation punk du best-seller pour enfants de Maurice Sendak. La folle équipée de Max au pays de géants cannibales.
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Franchement j'avais très peur de ce film.
Ayant appris à lire sur ce livre, j'appréhendais beaucoup l'adaptation des 40 pages à 2 lignes par pages en film de 1h30...
Au moins cet article m'auras donner envie d'aller le voir. Reste plus qu'à convaincre ma femme.
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Je me demande juste qui est l'idiot qui a traduit ce livre en "Max et les maximonstres"… C'est tellement plus classe "where the wild things are"… tant pis, je le dirais en VO pour emmerder la caissière.
"le scénariste intello-fumeux Charlie Kaufman"
C'est une blague ? Kaufman, qui a façonné des petites merveilles. Même son 1er film, certes un peu bancal, vaut le coup d'oeil.
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Je me demande juste qui est l'idiot qui a traduit ce livre en "Max et les maximonstres"… C'est tellement plus classe "where the wild things are"… tant pis, je le dirais en VO pour emmerder la caissière.
Euh, tu le dit en VO surtout parceque c'est plus classe en VO. En VF, tout de suite ça le fait moins. Et je préfère largement un titre comme "Max et les maximonstre" à "Là où vivent les choses sauvage".
[edit]En plus c'est un choix d'adaptation. Le titre en anglais possède un rythme par répétition de mot ayant la même longueur et des sonorité une allitération sur le "W" (et plus ou moins sur le "are" dont la sonorité rappelle le where).
Ce qui n'aurais pas marché avec "Là où vivent les chose sauvage". Le choix de "Max et les maximonstre" rappelle ce rythme.
De plus, il ne faut pas oublier qu'un titre c'est avant tout une accroche markéting pour un livre. Il est donc important de savoir l'adapter aux spécificité local pour s'assurer que le titre aura aussi un impact positif dans le pays cible. (Tout proportion gardé et respect de l'œuvre pris en compte bien sur).
Je ne dit pas que le titre choisit est le meilleur possible, mais il n'est pas si mal que cela.
Dernière modification par Egmorn (17-12-2009 17:41:34)
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Ouep c'est pédant, et moi j'aime pas les petits pédants.
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"le scénariste intello-fumeux Charlie Kaufman"
C'est une blague ? Kaufman, qui a façonné des petites merveilles. Même son 1er film, certes un peu bancal, vaut le coup d'oeil.
Le fait qu'il soit intello-fumeux ne le rend pas forcément mauvais auteur. On peut aimer le genre.
Mais quand on voit son oeuvre, le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle est clairement classifiable comme intello. Et Bien souvent très fumeuse:
- Eternal sunshine of the spotless mind
- Confession of a dangerous mind
- Being John Malkovitch
Non franchement, je plussoie fortement le terme intello-fumeux. (Et pourtant j'ai adoré ces trois films. Justement parcequ'ils sont intello-fumeux, poétique et font réfléchir).
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Hors Spike Jonze, quand il est arrivé sur le projet, a pris le contre-pied en décidant qu’il fallait valoriser l’aspect réaliste et concret de l’histoire et la tourner
"or" = conjonction de coordination et "hors" = adverbe de lieu = "dehors"
Ceci dit l'article m'a aussi envie d'aller voir le film.
Dernière modification par Borges (17-12-2009 18:38:44)
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Désolé A_, de ne pas te plaire, j'en suis fort confuseté.
Non franchement, je plussoie fortement le terme intello-fumeux. (Et pourtant j'ai adoré ces trois films. Justement parcequ'ils sont intello-fumeux, poétique et font réfléchir).
Pour moi le mot fumeux a une connotation négative et intello aussi. Et puis je ne trouve pas ce qu'il fait si intello, plutôt cérébral, mais on est loin de ce qu'est capable Godard par exemple. Ou alors c'est intello pour le type qui regarde Transormers... (qui a dit pédant ?) Tu ne dis quand même pas après avoir vu un de ces films : "Waw, j'ai été voir un film intello-fumeux ! C'était extra."
Mais bref, je vais pas en faire un choux non plus.
Je reste sur ma position que Max et les maximonstres n'est pas une traduction terrible qui en plus enlève la poésie originale et l'applatie. Je sais que le titre est difficile à traduire, je préfère encore "là où demeurent les choses sauvages" ou quelque chose de ce genre. Et je ne cautionne pas les contraintes marketing.
C'est aussi un de mes livres phares d'enfance. J'appréhende autant que j'ai envie, de voir ce film.
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je ne sais pas si " Being John Malkovitch" est intello-fumeux, mais ce film m'a réveillé, et c'est pas peu dire. Bref, vive le intello-fumeux donc.
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