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«Hellboy II»: gros plein de freaks
Cornes. Del Toro s'attarde sur le mal-être du personnage diabolique, qui ne supporte pas sa condition.
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Pourtant, on ne voit pas, depuis Tod Browning, de cinéaste ayant développé au fil de ses films un tel amour du monstre, une empathie si puissante qu’elle confine à l’identification.
Non, bien sûr! J'avais oublié que Tim Burton et Joss Whedon n'existent pas dans l'histoire du genre fantastique version Libé...
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...Et Terence Fisher?
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Je connais moins Terence Fisher, mais de toute façon la formule employée était franchement lapidaire : Del Toro est sympa mais le genre fantastique est trop riche pour qu'on s'amuse à balancer du Tod Browning à tort et à travers...
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