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«Dog Pound», centrale électrique
Le réalisateur Kim Chapiron filme la haine et la solitude d?ados aux vies fracassées dans une prison du Midwest.
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On peut reprocher beaucoup de choses à Zemmour, mais il avait fait une analyse particulièrement juste à propos d'un film sur des mafieux à Marseille. Le réalisateur expliquait que montrer la cruauté de la réalité permettait de la dénoncer. Zemmour au contraire se demandait si constamment montrer cette cruauté n'avait pas pour effet de la banaliser.
Je n'ai pas vu Dog Pound, mais je suis persuadé d'une chose : ce film banalise se qu'il dénonce.
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Pas encore eu l'occasion de voir la version définitive mais j'avais eu la chance de pouvoir le voir en avant première en février dernier et j'avais beaucoup apprécié.
Il faut savoir que Dog Pound a été présenté en avant première gratuite sur au moins une bonne dizaines de dates et de lieux en France, démarche plus que louable d'autant que le réalisateur était présent.
A déconseiller aux âmes sensibles étant donné la violence de certaines scènes encore qu'elle n'est pas trop graphique (pas de plans sur un crâne défoncé, une blessure ou trop de sang) mais bien retranscrite par l'action et la bande son.
Graphiquement c'est très propre, les plans sont bien composés et ont une bonne esthétique, niveau scénario un peu bateau mais bien entouré.. un bon film.
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