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Série : hante ici «American Horror Story»
American Horror Story est plus qu?un simple hommage en douze épisodes à la maison hantée, personnage emblématique de l?épouvante: c?est une relecture du mythe.
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Série ratée :
On se perd trop de personnages, trop de situations invraisemblables...
*spoiler* attention
On a à la fin un retournement ridicule les fantômes qui deviennent gentil, des incohérence genre la fille sent pas qu'elle est morte, le père s'inquiète pas de l'odeur de cadavre, de la disparition du mec qui fait les travaux...
+ la fin petite maison dans la prairie.
Le psy qui se renseigne pas sur son patient et qui sait pas qu'il y a eu un massacre dans l'école
Bref cette série 2/20 elle vaut rien
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C'était très très inégal. Deux trois épisodes véritablement inspirés et le reste qui confinait au porte-nawak ou au mélange forcé des genres et des références.
Les révélations tombaient pour la plupart à plat, des personnages étaient convoqués pour disparaître presque aussitôt ensuite, on a droit à un moment au plus grand secret de toute l'histoire de l'humanité que seul le pape le jour de son élection apprend après mille précautions protocolaires (mais qu'une voyante répète sans problème à sa cliente).
Et il faudrait aussi que Ryan Murphy se calme un peu côté culs de mecs.
En tout cas, le personnage de Ben Harmon, le mari dans la famille, est assurément un des plus grands couillons qui soit jamais apparu dans une série télé. À se demander jusqu'à quel point Dylan McDermott en a fait dans l'auto-parodie.
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Ué inégal et plutôt mauvais.
Ca aurait pu etre mieux avec une mythologie cohérente du coté du monde des morts. **SPOIL** Des fois ils sont amnésique et dans leur délire pre-mortem, la fois d'après ils savent très bien qu'ils sont mort, des fois ils font comme s'ils étaient seuls dans la maison, et plus tard papotent entre eux et dénoncent au vivants les agissements de certains... Du coup la fin fout tout en l'air, pas de psychopathie de fantôme pour la famille, ils sont tout gentil et rendent service. Pk les infirmières ou le couple gay ont pas fait pareil dès le début de la série?
Le pire à mon goût étant quand même le tic de foutre une ponctuation musicale "angoissante" dès qu'une porte grince ou qu'un perso dit une connerie avec un sourire en coin (càd toutes les 30 secondes).
Au moins ya eu une fin.
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Si le générique et le pilote vous mettent en appétit -du moins éveillent la curiosité de l'amateur - la suite est une dégringolade pénible avec un scénario qui rigole tout seul et des acteurs en roue libre. Parfois on a l'impression que pour cette maladie qu'est le puritanisme américain, baiser c'est plus grave que tuer. Une cata totale.
Dernière modification par juanito (12-05-2012 13:04:48)
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Il faut quand même reconnaître deux mérites à cette série :
- on ne savait jamais ce sur quoi on allait tomber, les épisodes alternant entre citation à la limite du repompage et délire gothique grandiose, rebondissement tombant à plat et développement intéressant. J'étais sceptique, mais j'étais fasciné par le résultat, qui défiait tous les critères de jugement
- l'idée d'arrêter l'histoire à la fin de la saison, pour ne conserver que le titre et repartir avec une histoire et des personnages totalement différents à la rentrée prochaine, est une décision radicale et très courageuse
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