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Un journaliste de France 3 menacé de licenciement pour des tweets
Joseph Tual a reçu une lettre en vue d'un entretien préalable d'une sanction pour «faute grave».
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Franchement... être journaliste, et ne pas savoir qu'il faut fermer son clapet sur les réseaux sociaux..!!!
Dernière modification par marie2295 (17-05-2012 17:37:04)
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Franchement... Être journaliste et être obligé de fermer son clapet sur les réseaux sociaux... !!
"Et si je poussais une longue plainte déchirante pudiquement cachée sous la morsure cinglante de mon humour ravageur?"
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Twitter semble être le refuge des concierges et autres lâches qui enragent dans leur coin et n'ont pas assez de cojones pour dire ce qu'ils pensent par devant. On n'est pas content, on a une engueulade avec quelqu'un (famille, supérieur hiérachique, clébard), on poste un tweet:
"Bou, moi pa kontan, Machin et un vil1 konnar! LOL"
Le problème, c'est qu'ils ne savent pas que tout ça est public, donc peut être lu par tout le monde, et dont "Machin".
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Le journaliste visé étant délégué CGT, devait certainement savoir que son Tweet serait reçu par les personnes visées... Et connaissant la capacité de nuisance de son syndicat, doit pouvoir dormir sur ses deux oreilles.
Justement c'est peut être grâce à Twitter que son message a dépassé la portée des seules personnes visées et a donné plus de visibilité qu'une simple lettre à la direction qui aurait peut être permis de le licencier discrètement et sans faire de vagues.. Surtout qu'il a visiblement quelques personnalités politiques ou publiques parmi ses followers...
Bref j'aime ni Twitter ni la CGT mais y a un moment faut arrêter de prendre les gens pour les derniers des abrutis quand ils cherchent juste à augmenter la portée de leur message..
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Les tweets en question ont été supprimés j'imagine? (sinon on les aurait dans l'article, je suppose, parce qu'en tout cas ça ne serait pas inutile).
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Les tweets en question ont été supprimés j'imagine? (sinon on les aurait dans l'article, je suppose, parce qu'en tout cas ça ne serait pas inutile).
Même si, en remontant la timeline de Joseph Tual, on peut imaginer quels tweets peuvent être dans le collimateur, on ne sait ceux qui sont en cause: Tual a juste reçu sa convocation et les tweets "fautifs" lui seront détaillés lors de son entretien avec la direction.
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