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Si Dark Souls est le rendez-vous des gamers "élitistes" cet automne, sa supposée difficulté pour masochistes est le lieu commun favori des journalistes chargés de le chroniquer en cette saison.
Faudrait voir à arrêter de jouer les drama queens les gars, quand même. Dark Souls est immensément dur par rapport au titre triple-A cinéscénarisé à outrance et où l'on avance en mode automatique comme dans un couloir, mais dans le fonds, il s'agit juste de retrouver la discipline qui fût jadis la nôtre dans nos premières parties de Super Mario Bros, quand on apprenait encore ce qu'était une manette et dans quel sens ça se tenait.
Et puis vu le nombre de secrets (ou de bugs) dont le jeu regorge et qui viennent aider à casser cette difficulté, il n'y a vraiment aucunes excuses pour ne pas le retourner dans tous les sens, plusieurs fois.
Notre époque moderne est celle du règne des pisse-froids et du terrorisme des bégueules.
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