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Twitter est encore dans l'âge du fail
Inaccessible pendant une heure hier, Twitter s'explique en parlant d'une double panne imprévisible. Un nouveau plantage qui rappelle la fragilité de son infrastructure, qui parvient difficilement à suivre son succès croissant.
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Pour l'informatique dans le nuages, je préfère décentralisée, les américains sont fans de l'image de nuage qui représentent les réseaux étendus dans les présentations et les documents Visio, les français sont plus précis et plus analytiques, ils savent bien que dans les nuages il n'y a que Dieu avec ses anges et le Père Noël.
Quant à la fiabilité "absolue" à 99,99% c'est encore 50 minutes de panne par an, le graal du métier c'est le "Five-Nine", soit 5 minutes d'indisponibilité par an http://en.wikipedia.org/wiki/High_availability
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J'ai un compte Twitter pour mon blog de jouets. Je l'utilise très peu. 150 caractères, c'est trop peu pour un bavard des doigts comme moi. J'ai même tendance à penser que Twitter, c'est le Novlangue. On est obligé de raccourcir ses phrases, donc, sa pensée. Ça vous oblige presque à causer en SMS...
Bref, hier soir, je déterre mon compte, paf! En rade! Avouez que je n'ai pas de bol! Quand je veux m'en servir, c'est mort...
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je ne comprends pas cette phrase:
"un classement des principaux services utilisant l’informatique dans les nuages (Facebook, Google, Amazon, Paypal...),"
ce n'est pas cela l'informatique dans les nuages.
c'est un contresens, une erreur, ou bien y a-t-il une autre interpretation...
Dernière modification par framboiz (27-07-2012 22:34:13)
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J'ai un compte Twitter pour mon blog de jouets. Je l'utilise très peu. 150 caractères, c'est trop peu pour un bavard des doigts comme moi. J'ai même tendance à penser que Twitter, c'est le Novlangue. On est obligé de raccourcir ses phrases, donc, sa pensée. Ça vous oblige presque à causer en SMS...
C'est une façon de voir les choses. On peut aussi se dire qu'une limite très basse oblige à se débarrasser du superflu et donc à s'exprimer clairement, sans adverbes superfétatoires ou autres circonvolutions langagières (« ce qui se conçoit bien... »). Pour moi, c'est une bonne gymnastique cérébrale.
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On peut aussi se dire qu'une limite très basse oblige à se débarrasser du superflu et donc à s'exprimer clairement, sans adverbes superfétatoires ou autres circonvolutions langagières.
C'est bien ce que je dis. Doubleplusgood!
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C'est une façon de voir les choses. On peut aussi se dire qu'une limite très basse oblige à se débarrasser du superflu et donc à s'exprimer clairement, sans adverbes superfétatoires ou autres circonvolutions langagières (« ce qui se conçoit bien... »). Pour moi, c'est une bonne gymnastique cérébrale.
Mais comme tout le monde n'est pas concepteur-rédacteur, la contrainte malmène les petits bras et appauvrit le message au lieu de l’enrichir.
Ne vous privez pas de ces ressources intellectuelles au prétexte qu'elles sont intellectuelles, qu'elles sont écrites avec de grands mots.
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