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Offre légale : pour Aurélie Filippetti, «Hadopi n'a pas fait son travail»
La ministre de la Culture a encore une fois exprimé de vives critiques à l'encontre d'Hadopi, ce qui n'a pas manqué de déclencher quelques réactions de la filière musicale.
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J'adore le "sans Hadopi il risquait la prison". Sans Hadopi il ne risquait rien vu que c'est sa femme qui téléchargeait. Encore plus drôle, sa femme risque toujours la prison. Hypocrisie quand tu nous tient.
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J'adore le "sans Hadopi il risquait la prison". Sans Hadopi il ne risquait rien vu que c'est sa femme qui téléchargeait. Encore plus drôle, sa femme risque toujours la prison. Hypocrisie quand tu nous tient.
@La rédaction de Libé : Ça mérite un désintox effectivement.
"Des scientifiques et des savants du monde entier, se sont réunis pendant des mois et des mois pour dresser un constat, c’est le constat qui est accablant, le monde va à sa perte si on continue à émettre du carbone qui crée un trou dans la couche d’ozone et qui brise les équilibres de la planète. Ça c’est un constat."
— Nicolas Sarkozy, le 24 septembre 2009.
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Quand on lit la réaction de Pascal Nègre on comprend assez bien comment on en est arrivé là. Voilà un ancien chef d'entreprise qui pense que la solution c'est l'offre légale et que l'état doit suivre pour la soutenir. C'est très Français, surtout ne pas partir du marché, de la compétitivité. Apple s'est redressé très certainement grâce à Itunes qui a été le point de départ de la gamme qui a suivi : Ipod, Iphone, Ipad,... (même si la musique s'est combinée ou a laissé place à d'autres fonctionnalités). Apple est la première capitalisation mondiale. Il est très étonnant que le premier réflexe compétitif vienne d'un ministre de gauche et socialiste de surcroît. C’est elle qui faut mettre au redressement durable et vite ! J’espère que dans les 10 milliards d’économie Hadopi saute, ça libérera une industrie compétitive. Je ne crois pas Universal en fera partie, mais d’autres prendront la place, ça créera des nouveaux emplois de la valeur, des rentrées fiscale et en plus on aura fait des économies ! Là on a un principe de croissance. Ça fait pas plaisir à Pascal, mais il se consolera.
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Quand on lit la réaction de Pascal Nègre on comprend assez bien comment on en est arrivé là. Voilà un ancien chef d'entreprise
Attaché de presse.
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