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Bon, qu'on se mette d'accord, Apocalypto, ça déchirait sa maman, non ?
Oh come on!!!
(oh come on dans le sens "oui bien sur ca trouait le cul")
Dernière modification par petaire (18-02-2010 15:01:09)
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Arf ouais c'est vrai que celui là était chouette. En plus y avait des tapirs et du gourdin-time, c'était cool.
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Bon, qu'on se mette d'accord, Apocalypto, ça déchirait sa maman, non ?
Au propre oui (enfin façon de parler), au figuré pas vraiment.
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Apocalypto était l'un des films de 2007 avec Napoleon Dynamite et Sunshine, stout.
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Aradama a écrit :Oui, voilà, c'est ça, on est tous contre Bayon. Et si le problème ne venait pas de nous ? Parce que, ok, un style original, c'est bien mais si ça pouvait rester lisible, c'est encore mieux.
On va dire que ca ressemble aux fringues de Lady Gaga, c'est certes osé et original, mais ça reste imbitable
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Le dernier paragraphe est carrément incompréhensible - et c'est quelqu'un qui vient de finir le dernier Ellroy sans lacher l'intrigue qui parle.
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Bon, qu'on se mette d'accord, Apocalypto, ça déchirait sa maman, non ?
+1, enfin j'espère que ça n'était pas ironique ?!
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Alexandre Hervaud a écrit :Bon, qu'on se mette d'accord, Apocalypto, ça déchirait sa maman, non ?
+1, enfin j'espère que ça n'était pas ironique ?!
Non, c'était sérieux, le film est génial, à mes yeux.
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C'était vraiment très intéressant / twitter.com/AlexHervaud
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L'article sur Jung ji-Hoon dans «Ninja assassin» est fascinant!
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petaire a écrit :Alors l'auteur de Casino Royal, c'est celui qui l'a écris. Soit Ian Flemmings. Qui n'a rien a voir avec ce film. En l'occurrence, c'est le réalisateur qui est commun aux deux films.
Ben non, l'auteur au cinéma c'est le réalisateur.
Ben, non, l'ami, même au cinéma, l'auteur, c'est le scénariste. Je pense que ta confusion vient du terme "cinéma d'auteur" qui date de l'époque de la Nouvelle Vague, moment historique où de jeunes réalisateurs se sont mis à touner avec des caméras légères, en extérieur, leurs propres scénarios. Il est à noter que la dévalorisation artistique su scénar en France date de cette époque, suite à un malentendu, ou à la mauvaise foi, selon: ces films qui avaient l'air si proches de la réalité, certains ont prétendu les improviser, d'autres l'ont cru. Certains l'ont vraiment fait, l'histoire du 7ème les a, pour une large part, au vu du résultat pitoyable, jetté aux oubliettes. Le fait est que la structure fait l'oeuvre, l'appel d'air de la Nouvelle vague (comme le néoréalisme italien à la Rossellini avant eux) saisit une nouvelle grâce ("le voile de Véronique") qui n'implique en rien la disparition du dispositif.
Quant à Bayon, son texte m'a amusé mais, franchement, le dernier paragraphe est bien trop pédant. Salutations!
Non, non, je n'ai aucune confusion, c'est juste la loi qui attribue la paternité d'un film au réalisateur. Et la loi est très juste dans ce cas.
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petaire a écrit :juanito a écrit :Ben, non, l'ami, même au cinéma, l'auteur, c'est le scénariste. Je pense que ta confusion vient du terme "cinéma d'auteur" qui date de l'époque de la Nouvelle Vague, moment historique où de jeunes réalisateurs se sont mis à touner avec des caméras légères, en extérieur, leurs propres scénarios. Il est à noter que la dévalorisation artistique su scénar en France date de cette époque, suite à un malentendu, ou à la mauvaise foi, selon: ces films qui avaient l'air si proches de la réalité, certains ont prétendu les improviser, d'autres l'ont cru. Certains l'ont vraiment fait, l'histoire du 7ème les a, pour une large part, au vu du résultat pitoyable, jetté aux oubliettes. Le fait est que la structure fait l'oeuvre, l'appel d'air de la Nouvelle vague (comme le néoréalisme italien à la Rossellini avant eux) saisit une nouvelle grâce ("le voile de Véronique") qui n'implique en rien la disparition du dispositif.
Quant à Bayon, son texte m'a amusé mais, franchement, le dernier paragraphe est bien trop pédant. Salutations!Non, non, je n'ai aucune confusion, c'est juste la loi qui attribue la paternité d'un film au réalisateur. Et la loi est très juste dans ce cas.
Tu devrais, désolé, téléphoner à la SACD ou autre société d'auteurs pour qu'ils se marrent. Il est classique en France que le réalisateur change une ou deux virgules du texte pour pouvoir co-signer le scénario et ainsi se prétendre "auteur" (et toucher des droits en passant). Dans ce sens, la Nouvelle Vague a fait beaucoup de mal, un réalisateur qui n'écrit pas n'y est pas considéré comme un véritable artiste: situation typiquement française et inconnue aux Etats Unis. Beaucoup de scénaristes de ce beau pays ont pâti de cette situation. S'il y a des scénaristes dans la salle, qu'ils lèvent le doigt
La continuité dialoguée n'est pas un film. La loi 1957 donne la paternité du film au réalisateur. http://admi.net/jo/loi57-298.html
Edit : Ca c'est sûr, ils vont bien se marrer à la SACD quand je leur dirais qu'un gugusse me soutient que le ou les scénaristes d'un film sont les auteurs de ce film...
Dernière modification par petaire (18-02-2010 18:06:47)
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Dans ce sens, la Nouvelle Vague a fait beaucoup de mal, un réalisateur qui n'écrit pas n'y est pas considéré comme un véritable artiste: situation typiquement française et inconnue aux Etats Unis. Beaucoup de scénaristes de ce beau pays ont pâti de cette situation. S'il y a des scénaristes dans la salle, qu'ils lèvent le doigt
Ah bah oui bien sûr, tous les réalisateurs d'Hollywood écrivent leurs scénars à chaque fois. C'est bien connu.
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petaire a écrit :juanito a écrit :Tu devrais, désolé, téléphoner à la SACD ou autre société d'auteurs pour qu'ils se marrent. Il est classique en France que le réalisateur change une ou deux virgules du texte pour pouvoir co-signer le scénario et ainsi se prétendre "auteur" (et toucher des droits en passant). Dans ce sens, la Nouvelle Vague a fait beaucoup de mal, un réalisateur qui n'écrit pas n'y est pas considéré comme un véritable artiste: situation typiquement française et inconnue aux Etats Unis. Beaucoup de scénaristes de ce beau pays ont pâti de cette situation. S'il y a des scénaristes dans la salle, qu'ils lèvent le doigt
La continuité dialoguée n'est pas un film. La loi 1957 donne la paternité du film au réalisateur. http://admi.net/jo/loi57-298.html
Edit : Ca c'est sûr, ils vont bien se marrer à la SACD quand je leur dirais qu'un gugusse me soutient que le ou les scénaristes d'un film sont les auteurs de ce film...
Il me semble avoir été poli avec toi, enfin ta réponse en dit long sur ta classe. Et, en effet, appele la SACD si tu veux comprendre ce que implique le terme "auteur". J'arrête lä, car je ne veux saouler personne, mais toi, apprends à téléphoner et à écouter avant des donner des leçons sur ce qui tu ne connais pas. Tu es petit, et je t'ai à l'oeil.
O RLY? Tu sais j'ai juste passé un partiel sur ce sujet il y a environ un mois, et je co-écris des scénarios de courts, alors tes conseils tu sais où tu peux te les carrer hein.
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Ah oui tu es scénariste et tu ne connais pas la loi de 1957?
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Oui, sur sa continuité dialoguée, pas sur le film. Droits qu'il cède d'ailleurs au producteur, hein, faut pas déconner.
Dernière modification par petaire (18-02-2010 18:35:20)
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Non, sur le film produit et diffusé.
Peut-être dans le pays merveilleux de pinpin le lapin ouais.
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Revenons à la base du débat :
article illisible et pédant.
Bayon, si tu nous regardes :
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petaire a écrit :juanito a écrit :Non, sur le film produit et diffusé.
Peut-être dans le pays merveilleux de pinpin le lapin ouais.
Tu ne sais pas de quoi tu parles, mais je laisse à d'autres le soin de te renseigner- Les droits d'auteur, c'est sérieux, pas un truc d'Alice au pays des merveilles ou le producteur ferait ce qu'il voudrait. Merci Beaumarchais! Cette fois, c'est la bonne.
Tout ça, c'est la faute des Nazis ! (youhou, j'ai encore gagné un point godwin !)
euh, bon, sinon, je suis d'accord avec le super Mariole.
Dernière modification par Aradama (18-02-2010 20:45:52)
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La loi de 57 ayant été abrogé par celle de 92, mais ne change rien à l'article sur la définition de l'auteur, enfin plutôt des coauteurs.
Ont la qualité d'auteur d'une oeuvre audiovisuelle la ou les personnes physiques qui réalisent la création intellectuelle de cette oeuvre.
Sont présumés, sauf preuve contraire, coauteurs d'une oeuvre audiovisuelle réalisée en collaboration :
1° L'auteur du scénario ;
2° L'auteur de l'adaptation ;
3° L'auteur du texte parlé ;
4° L'auteur des compositions musicales avec ou sans paroles spécialement réalisées pour l'oeuvre ;
5° Le réalisateur.Lorsque l'oeuvre audiovisuelle est tirée d'une oeuvre ou d'un scénario préexistants encore protégés, les auteurs de l'oeuvre originaire sont assimilés aux auteurs de l'oeuvre nouvelle.
Donc vous avez raison et tort, le scénariste et le réalisateur sont auteurs, mais pas exclusivement l'un de l'autre, sauf mention contraire. Tout ça parce que vous êtes pas capable de quotter un texte de loi...
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Pas mal cet article, ça regorge de références, de codes, on ne comprend pas tout tout de suite...
Vivement le prochain !
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Putain, bon : il y a deux types de droits pour une oeuvre de collaboration (un film, une émission de télé, etc...) , les droits patrimoniaux et les droits moraux.
Au niveau du droit moral, le scénariste a tous les droits sur SON scénario, sa continuité dialogué, le réal sur sa mise en scène, etc...
Au niveau du droit patrimonial, le plus compliqué puisque c'est les sous-sous, je cite :
Droits patrimoniaux
Les droits des différents coauteurs sur l’œuvre commune sont ceux qui sont reconnus à tous les coauteurs d’une oeuvre de collaboration. Deux réserves doivent toutefois être formulées qui tiennent à la nature propre de l’œuvre audiovisuelle. D’abord, et même si tous les participants sont regardés en principe comme de véritables coauteurs, la spécialisation des tâches limite d’autant les droits de certains d’entre eux sur l’ensemble. Il est douteux par exemple que le compositeur de la musique soit recevable à invoquer son droit moral de coauteur pour se plaindre d’une altération qui n’affecterait pas sa contribution.
Ensuite, le rôle capital du réalisateur introduit forcément une certaine hiérarchie, notamment lorsqu’il s’agit d’établir la version définitive de l’œuvre audiovisuelle (le « final cut »).
Par ailleurs, les coauteurs de l’œuvre audiovisuelle, comme pour toutes les œuvres de collaboration, peuvent exploiter séparément leur contribution personnelle dès lors qu’ils ne font pas concurrence à l’exploitation de l’œuvre commune.
Ils sont tous co-auteurs, mais celui qui passe au-dessus des autres, au niveau du final cut et donc du résultat final, c'est en France, le réalisateur, point. Aux US, celui qui possède le final cut, c'est le prod. Au final, le scénariste ferme quand même bien sa gueule, surtout de nos jours où les scénarios sont de plus en plus souvent une oeuvre collectives de co-scénaristes, scripts doctors etc...
Et d'un point de vue artistique, c'est totalement légitime. Le réalisateur est le maître de ce qui se déroule sur l'écran. Il est donc bien l'auteur du FILM, le scénariste l'auteur du SCENARIO.
Dernière modification par petaire (18-02-2010 22:35:05)
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hmmm du bon net-drama )))))
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Vous semblez souffrir de confusion sur le sujet, le « final cut » est de l'ordre du droit moral, et si le scénariste ou le dialoguiste se sentent trahi par le montage ils n'ont pas moins de droits. C'est d'ailleurs l'exemple donné par le site que vous citez http://www.avocats-publishing.com/Les-a … e-l-oeuvre au milieu de son paragraphe sur le droit patrimonial il parle du droit moral du compositeur, un peu confus non ? La question des « sou-sous » étant expliqué au paragraphe précédent en introduisant le grand ordonnateur : le producteur.
Pour en revenir au texte de loi l'Article L121-5 dit « L'oeuvre audiovisuelle est réputée achevée lorsque la version définitive a été établie d'un commun accord entre, d'une part, le réalisateur ou, éventuellement, les coauteurs et, d'autre part, le producteur. » qui fait référence explicite à l'Article L121-1 faisant partie du Chapitre Ier sur les Droits moraux.
De fait ça n'introduit aucune hiérarchie entre les auteurs sur l'œuvre complète que ça vous plaise ou non. La jurisprudence en établit peut-être une sur certaine partie de l'œuvre mais pas sur sa globalité.
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Ben non, ils disent que le compositeur ferme sa gueule au niveau de la réa. Le scénariste n'est pas souvent présent sur un set, sauf s'il a plusieurs casquettes, auquel cas il aura plus de poids, mais un scénariste la ramène trèèèès rarement...
Dernière modification par petaire (19-02-2010 00:13:24)
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Ben non, ils disent que le compositeur ferme sa gueule au niveau de la réa. Le scénariste n'est pas souvent présent sur un set, sauf s'il a plusieurs casquettes, auquel cas il aura plus de poids, mais un scénariste la ramène trèèèès rarement...
vous ne savez pas lire ou quoi?
Ils n'est jamais écris que le compositeur ferme sa gueule à la réal. Au contraire, il lui est tout a fait légitime d'intervenir si le montage dénature la musique ou l'utilise à des fins inapproprié (utilisation de sa musique douce pour une scène violente, cut au mauvais moment dans la musique etc...).
Par contre il n'a pas de légitimité pour faire valoir son droit moral d'auteur sur un sujet sans rapport avec la composition (par exemple il n'a pas le droit de faire valoir son droit d'auteur pour censurer une fin qu'il juge immorale)
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