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Artistes contre internautes, le discours rayé
Un article signé d'une stagiaire de la radio américaine NPR, qui explique n'avoir acheté qu'une infime partie des 11~000 chansons de sa discothèque numérique, a réveillé le vieux débat sur le soutien aux artistes.
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Il n'y a pas de débat possible, juste des habitudes de consommation. La jeune fille a raison et Yo la Tengo a raison de prendre ça avec humour.
Elle est de son époque, elle est cool et nous avons envie d'aider la musique et les américaines qui dansent...
Donc, il faudrait augmenter son argent de poche et subventionner les vieux groupe...
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non mais +1!
Si il y avait débat, et vu que cette histoire dure depuis 10~15 ans, on aurait peut-être avancé d'un pouième. Alors que en 2012 c'est encore statu quo...
Après, quand je lis ça "[...] Pourquoi sommes-nous prêts à payer pour les ordinateurs, les iPods, les smartphones, les abonnements à l’Internet haut débit, mais pas pour la musique elle-même ?" je me dis que la mauvaise foi est quand même plus présente d'un coté que de l'autre.
Dernière modification par xouille (21-06-2012 09:41:36)
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Il est certainement plus facile de contrôler les moyens de diffusion que les contenus, plus facile aussi de monétiser cela.
À mon humble avis, une des clés du problème réside dans ce que souligne Lowery, la prise de conscience individuelle des amateurs de contenus culturels : est-ce que le créateur va pouvoir jouir des fruits de sa création ? Et qu’est-ce donc qu’un créateur ? Il y a malheureusement une véritable ignorance des processus de créations, ignorance qui fait le jeu des diffuseurs.
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C'est assez simple:
Avec le numérique, on ne peut pas empêcher la copie de masse.
Les artistes doivent s'adapter.
Mais je crois que ce sont surtout les *mauvais* artistes qui doivent souffrir:
On ne partage pas ce qu'on n'aime pas.
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