Et là, tous ensemble: Rhôôô! Mais qu'il est con!

Très beau dernier paragraphe, merci!

Et pour boucler la boucle, je me souviens avoir vu chewing-gum au féminin dans le roman "Les disparus de St-Agil", publié en 1935... probablement selon le raisonnement qu'on dit bien une "gomme à mâcher". Comme quoi la logique cède généralement la place au confort phonétique.
Enfin, pour revenir au vrai sujet... toujours aussi agréable de lire Miss Gloss. Si ça pouvait être un peu plus souvent, d'ailleurs, je n'irais pas m'en plaindre...

Ah ben a pu trailer est-il? Je commentais jamais mais lisais toujours et regardais souvent...

J'ai trouvé! L'homme à la Spoon est en fait l'amant de son ex, à qui elle avait offert la même montre...

Le fait est qu'ils sont trop nombreux, mais de là à dire qu'ils se valent tous...

Sinon, une autre remarque: admettons que dans le texte, les "confusions" du héros entre Lin et Lan soient effectivement, et à dessein, le signe d'un manque d'intérêt de sa part pour ce qui ne lui est pas familier. Ce n'est pas forcément du racisme, mais le signe d'un esprit un peu étroit. OK.
Et alors?
On n'a pas le droit, en 2011, d'avoir des personnages principaux pourvus de quelques faiblesses humaines? Parce que c'est par ses yeux qu'on voit la scène, il devrait forcément être irréprochable, gentil, patient, attentif et modéré dans ses propos?
On est dans une fiction. Ça ne veut pas dire qu'on doit forcément avoir de la guimauve rose / bleu...

Avec plaisir. Par contre, méfiez-vous, je risque de réclamer une dédicace...

Les maraboudficelles de Miss Gloss suscitent rarement des commentaires, probablement parce qu'ils se suffisent à eux-mêmes et ne cherchent pas à lancer un débat.
Ça ne m'empêchera pas de dire que je les lis régulièrement avec plaisir. A naviguer sans trop trancher entre billets d'humeur, fictions et tranches de vie vécues, sur le thème on ne peut plus contemporain de la part croissante du numérique dans notre vie... ils ne sont pas toujours là où on les attend, et c'est tant mieux.