Bloquer les trucs moches ne changent rien, les contournements techniques étant toujours plus rapides et de plus en plus difficiles à contrer. Maintenant les réseaux d'échanges pédophiles pullulent sur freenet, immunisé à la censure de par sa conception, donnant une immunité légale également quasi totale à ses utilisateurs, toujours de par sa conception.

Punir méchamment le p2p n'aura également aucun effet, le volume de données passant par ce moyen d'échange est sans doute en chute libre, remplacé par le téléchargement direct sur les sites type mégaupload, immunité également quasi totale face à la loi (totale en cas de visionnage par streaming sur un OS sur liveCD, même en cas de descente du GIGN pour une perquisition).

Enfin tout ça les fournisseurs d'accès le savent bien mais ils s'en foutent leurs craintes c'est uniquement que cette obligation leur coute du pognon.

Les impôts pour renflouer les majors \o/

Autant ne pas maquiller le don de l'état, et directement verser une obole dans leur caisse, comme ça, pour leurs beaux yeux.

Autant le premier était très facile (surtout au niveau 40 en démarrant avec les grosses gemmes), sauf le dernier boss de la dernière vague du dernier niveau qui demandait plusieurs essais.

La la difficulté est énorme, dès le tout début, une tour mal placée et c'est la mort assurée, tout comme un manque de chance sur le pop des gemmes qui entrainera le même destin funeste.

Situation initiale : Le réseau est entièrement public, non rentable mais offre un service équitable pour tous. Comme des coins sont de véritables gouffres, pas d'investissements possibles, donc retard sur les pays où c'est privatisé, faute de volonté d'y injecter de l'argent privé.

Acte 1 : on ouvre le marché à la concurrence sous prétexte de l'offre faible. Dans les coins très rentable, l'offre explose à très bas coup, par contre dans les coins peu denses, ce qui reste du service public devient un gouffre financier, obligé d'augmenter ses tarifs.

Acte 3 : le service public n'y ai plus du tout, comme toute bonne entreprise privée, les coins paumés, rien à carrer.

Acte 4 : comme 10 ans après le début de l'ADSL de grandes zones ne sont pas couvertes et comme il n'y a plus de service public, on incite les opérateurs privé à y aller, mais comme il faut que ce soit rentable pour eux, l'aide doit être égal au coût du déploiement (ou rapidement rentable).

Au final l'etat paye le déploiement à des entreprises privées comme il aurait pu le faire pour son propre compte, mais au passage ne recevra que 33% (et encore si le siège ne se barre pas) des bénéfices via l'IS, alors qu'il aurait pu en avoir 100%. Tout le monde est perdant au bout du compte (sauf les actionnaires évidemment).

Tout ça parceque au départ le service public a été accusé de jouer son rôle, c'est à dire desservir un peu près équitablement tout le monde.

Vive la démagogie sur les bénéfices de la privatisation c'est génial autant de gogo.